Les Carnets du sous-sol

Paris 4e
du 6 mars au 10 juillet 2024
1h10

Les Carnets du sous-sol

CLASSIQUE Philosophie Seul(e) en scène Russe Offre adhérent - 27% 16,5 - 22,5 €

«Je pense même que la meilleure définition de l'homme est la suivante : créature bipède et ingrate. »

Dans un dispositif scénographique rectangulaire relativement indéfini (qui représente tout à la fois l’espace mental du héros, un sous-sol, une chambre...), le spectacle donne à entendre la voix du héros des Carnets du sous-sol qui a choisi de se prendre comme matière d’observation, de questionner sa pensée en établissant un dialogue avec des messieurs imaginaires.

Face aux certitudes de son époque, le héros oppose son désir qu'il nomme son « caprice » et qui est, selon lui, constitutif de l'homme au point que ce dernier préférera devenir fou plutôt que renoncer à sa liberté fondamentale.

Sélection d’avis du public

Lucide déraison Par Brigitte S. - 15 mai 2024 à 07h44

La prestation de Christophe Laparra est impressionnante de force et de densité, dans un texte tout à la fois sombre et suffocant dans sa massive pesanteur, éclairé par des fulgurances de lucidité. Notre comportement, la société, les questionnements devant l'ignorance, les doutes et les errances de l'illusion de nos savoirs et de nos ignorances ... tout est ici ciselé au bistouri d'une lucide déraison tout à la fois vivifiante et mortifère ... Hallucinant et fascinant

Les carnets du sous sol Par Hervé M. - 14 mai 2024 à 18h14

Excellent travail de mise en scène et de comédien. Bravo pour l'adaptation de ce grand texte.

La raison du plus fou serait elle la meilleure ? Par Picoudamour - 14 mai 2024 à 07h23

Vaste question, quasi cas de conscience ! Un texte lourd, dense dont s'empare Christophe Laparra avec une puissance jouissive. La mise en scène est impeccable et offre au comédien un écrin d'authenticité. J'ai beaucoup aimé le samovar, j'ai visualisé le suintement de la roche, j'en ai même ressenti le souffle humide, j'ai été obsédée par le goutte à goutte qui pour moi signifie la fuite inexorable du temps (façon métronome) et que dire de la séquence bassine (accessoire "fétiche" de l'Essaïon) où le comédien se met à nu avec un accent d'authenticité quasi épidermique. Malgré quelques longueurs ressenties, j'ai été séduite par le jeu de Christophe Laparra.

Synthèse des avis du public

4,3 / 5

Pour 3 Notes

33%
67%
0%
0%
0%

Vous avez vu ce spectacle ? Quel est votre avis ?

Note

Excellent

Très bon

Bon

Pas mal

Peut mieux faire

Ce champ est obligatoire
Ce champ est obligatoire

Vous pouvez consulter notre politique de modération

4 3 5
Lucide déraison Par Brigitte S. (400 avis) - 15 mai 2024 à 07h44

La prestation de Christophe Laparra est impressionnante de force et de densité, dans un texte tout à la fois sombre et suffocant dans sa massive pesanteur, éclairé par des fulgurances de lucidité. Notre comportement, la société, les questionnements devant l'ignorance, les doutes et les errances de l'illusion de nos savoirs et de nos ignorances ... tout est ici ciselé au bistouri d'une lucide déraison tout à la fois vivifiante et mortifère ... Hallucinant et fascinant

Les carnets du sous sol Par Hervé M. (1 avis) - 14 mai 2024 à 18h14

Excellent travail de mise en scène et de comédien. Bravo pour l'adaptation de ce grand texte.

La raison du plus fou serait elle la meilleure ? Par Picoudamour (486 avis) - 14 mai 2024 à 07h23

Vaste question, quasi cas de conscience ! Un texte lourd, dense dont s'empare Christophe Laparra avec une puissance jouissive. La mise en scène est impeccable et offre au comédien un écrin d'authenticité. J'ai beaucoup aimé le samovar, j'ai visualisé le suintement de la roche, j'en ai même ressenti le souffle humide, j'ai été obsédée par le goutte à goutte qui pour moi signifie la fuite inexorable du temps (façon métronome) et que dire de la séquence bassine (accessoire "fétiche" de l'Essaïon) où le comédien se met à nu avec un accent d'authenticité quasi épidermique. Malgré quelques longueurs ressenties, j'ai été séduite par le jeu de Christophe Laparra.

Informations pratiques

Essaïon

6, rue Pierre-au-Lard 75004 Paris

Châtelet Lieu intimiste Marais
  • Métro : Rambuteau à 173 m, Hôtel de Ville à 260 m
  • Bus : Centre Georges Pompidou à 52 m, Hôtel de Ville à 267 m, Châtelet à 344 m
Calcul d'itinéraires avec Apple Plan et Google Maps

Plan d’accès

Essaïon
6, rue Pierre-au-Lard 75004 Paris
  • Placement libre

    de 16,5 à 22,5 €

Pourraient aussi vous intéresser

- 22%
Montaigne, les Essais

Théâtre de Poche-Montparnasse

Les Démons

Comédie-Française - Salle Richelieu

- 22%
Chateaubriand, Mémoires d'outre-tombe

Théâtre de Poche-Montparnasse

Réserver à partir de 16,5 €