Adolphe Jaime
Adolphe Jaime
Vaudevilliste et dramaturge, Adolphe Jaime écrivit, seul ou en collaboration, les livrets de nombreuses opérettes : Le Petit Faust, musique d’Hervé “le compositeur toqué”, de V’lan dans l’oeil, ou La Reine indigo, de Johann Strauss fils…
La Cour du roi Pétaud, livret co-écrit avec Philippe Gille, musique Léo Delibes (m.e.s. en 2008 par Jean-Philippe Salério, direction musicale Christophe Grapperon).
Cet(te) artiste n'est pas lié(e) en ce moment à un spectacle.
De 1999 à hier - Adolphe Jaime
Comédie Nation, Paris
le 20 sept. 2015
1h10
- De : Stéphan Bordèse, Adolphe Jaime, Charles Lecocq
- Mise en scène : Elise Archambault
- Avec : Elise Archambault, Hélène Halatcheff, Xavier Toyas, Hélène Kraepiel, Gilles Taillefer, Juliette Fe
Une pièce en vers, poétique et adorable sur une musique tout à fait séduisante. Et pour suivre, un vaudeville rebondissant, pas du tout sérieux et un peu romantique !
Théâtre Jean Arp, Clamart
le 11 janv. 2009
- De : Adolphe Jaime, Philippe Gille, Léo Delibes
- Mise en scène : Jean-Philippe Salério
- Avec : Sophie Angebault, Rodolphe Briand, Emmanuelle Goizé, Flannan Obé
Pour que les royaumes d’opérette existent, il a bien fallu des opérettes. Loufoque et joyeuse, tyrannique et inconséquente, La Cour du roi Pétaud est un modèle du genre. Des courtisans serviles nommés Zéro et Volteface, une princesse ravissante mais bête à pleurer – de rire –, des décisions arbitraires, et des impôts, des impôts, toujours trop…
Athénée Théâtre Louis-Jouvet, Paris
du 18 déc. 2008 au 4 janv. 2009
- De : Adolphe Jaime, Philippe Gille, Léo Delibes
- Mise en scène : Jean-Philippe Salério
- Avec : Sophie Angebault, Rodolphe Briand, Emmanuelle Goizé, Flannan Obé
Pour que les royaumes d’opérette existent, il a bien fallu des opérettes. Loufoque et joyeuse, tyrannique et inconséquente, La Cour du roi Pétaud est un modèle du genre. Des courtisans serviles nommés Zéro et Volteface, une princesse ravissante mais bête à pleurer – de rire –, des décisions arbitraires, et des impôts, des impôts, toujours trop…
