Anaïs Kaël

Anaïs Kaël

Anaïs Kaël, seule, face à son piano chante d’une voix puissante des chansons « coquelicot trash », jolie formule pour définir ses textes corrosifs et attendrissants. Propos acides et poignants, piano écorché, elle rend universelles les situations banales et douloureuses vécues par tant de femmes. La jeune fille, au verbe haut, bouscule et malmène entre tendresse et insolence.

Cet(te) artiste n'est pas lié(e) en ce moment à un spectacle.

De 1999 à hier - Anaïs Kaël

Anaïs Kael

La Loge, Paris

le 25 janv. 2008
MUSIQUE & DANSE Terminé
  • Avec : Anaïs Kaël
Anaïs Kael vous invite… de sa voix douce et poignante, dans un conte de fée noir, d’où, d’un tas d’ordure éclosent de fragiles fleurs rouges, ces coquelicots dont elle nous cogne, nous empoigne la vie, tout en caresses, là où ça fait mal et ça fait du bien…
Anaïs Kael

La Loge, Paris

le 11 oct. 2007
MUSIQUE & DANSE Terminé
  • Avec : Anaïs Kaël
Anaïs Kael vous invite… de sa voix douce et poignante, dans un conte de fée noir, d’où, d’un tas d’ordure éclosent de fragiles fleurs rouges, ces coquelicots dont elle nous cogne, nous empoigne la vie, tout en caresses, là où ça fait mal et ça fait du bien…
Anaïs Kael

La Loge, Paris

du 17 avr. au 17 juil. 2007
MUSIQUE & DANSE Terminé
  • Avec : Anaïs Kaël
Anaïs Kael vous invite… de sa voix douce et poignante, dans un conte de fée noir, d’où, d’un tas d’ordure éclosent de fragiles fleurs rouges, ces coquelicots dont elle nous cogne, nous empoigne la vie, tout en caresses, là où ça fait mal et ça fait du bien…
Anaïs Kaël / Marjolaine

Le Forum de Blanc-Mesnil, Le Blanc-Mesnil

le 17 nov. 2006
MUSIQUE & DANSE Terminé
  • Avec : Marjolaine, Anaïs Kaël
Concert. Anaïs Kaël, seule face à son piano, chante d’une voix puissante des chansons « coquelicot trash ». D’une voix fragile au timbre cristallin, Marjolaine offre ses chansons savoureuses et absurdes.
Anaïs Kael

La Loge, Paris

du 14 au 21 oct. 2006
MUSIQUE & DANSE Terminé
  • Avec : Anaïs Kaël
Anaïs Kael vous invite… de sa voix douce et poignante, dans un conte de fée noir, d’où, d’un tas d’ordure éclosent de fragiles fleurs rouges, ces coquelicots dont elle nous cogne, nous empoigne la vie, tout en caresses, là où ça fait mal et ça fait du bien…