Eloge de l’union entre le sol et l’air, Nuées, le labyrinthe des chimères évoque l’éparpillement des choses. Pas de narration à proprement parlé, mais l’exposition d’états et de sensibilités, de relations et de confrontations. Dans cette pièce tridimensionnelle, l’altitude joue sa partition en contrepoint d’une danse au sol. Les danses jouent de la gravité ou de son absence. Elles exposent les dialogues du léger et du lourd, du tranchant et du glissant, de la chute et de l’élévation, elles nagent au sol au gré d’ondes improbables. Un regard sur les choses teinté d’humour avec une esthétique forte et élégante. Un poème empreint de joie et de turbulences.

Farid Chopel revient sur scène dans un one-man-shown à l’autodérision aussi drôlissime que touchante. Il a gardé la même étonnante gestuelle, la même silhouette incroyablement longue, la même présence électrique et lumineuse, la même poésie et le même humour…Il danse, chante, mime, parle très gravement de lui et de sa vie, et c’est à mourir de rire. C’est authentique, complètement fou, absolument vrai, vraiment drôle et bouleversant.

Farid Chopel revient sur scène dans un one-man-shown à l’autodérision aussi drôlissime que touchante. Il a gardé la même étonnante gestuelle, la même silhouette incroyablement longue, la même présence électrique et lumineuse, la même poésie et le même humour…Il danse, chante, mime, parle très gravement de lui et de sa vie, et c’est à mourir de rire. C’est authentique, complètement fou, absolument vrai, vraiment drôle et bouleversant.