Camille Broilliard
2014 Projet Jules Cesar [Les armes à la main] Partie 1 d'après Shakespeare, m.e.s. Sarah Gerber
Cet(te) artiste n'est pas lié(e) en ce moment à un spectacle.
De 1999 à hier - Camille Broilliard
Pouvoir(s) – César ou le Projet Jules César
L'étoile du nord, Paris
du 14 nov. au 2 déc. 2017
CONTEMPORAIN
CLASSIQUE
Terminé
-
De :
William Shakespeare
-
Adaptation :
Sarah Gerber
-
Mise en scène :
Sarah Gerber
-
Avec :
Camille Broilliard,
Maxime Villeléger,
Cantor Bourdeaux,
Laurent Cogez,
Matej Hofmann,
Charles-Antoine Sanchez
Faut-il tuer César ? Un banquet, le dernier de l’empereur. Ce repas fait sortir des profondeurs les raisons intimes de chacun à participer ou non à l’attentat, à s’emparer ou non du pouvoir par la force, à tuer ou non. Et finalement la décision est prise : César mourra et avec lui la République de Rome, la candeur de ses assassins et les utopies de ses adversaires.
Pouvoir(s) – César ou le Projet Jules César
Paris-Villette, Paris
CONTEMPORAIN
CLASSIQUE
Terminé
-
De :
William Shakespeare
-
Adaptation :
Sarah Gerber
-
Mise en scène :
Sarah Gerber
-
Avec :
Camille Broilliard,
Maxime Villeléger,
Cantor Bourdeaux,
Laurent Cogez,
Matej Hofmann,
Charles-Antoine Sanchez
Faut-il tuer César ? Un banquet, le dernier de l’empereur. Ce repas fait sortir des profondeurs les raisons intimes de chacun à participer ou non à l’attentat, à s’emparer ou non du pouvoir par la force, à tuer ou non. Et finalement la décision est prise : César mourra et avec lui la République de Rome, la candeur de ses assassins et les utopies de ses adversaires.
Pouvoir(s) – César ou le Projet Jules César
La Loge, Paris
CONTEMPORAIN
CLASSIQUE
Terminé
-
De :
William Shakespeare
-
Adaptation :
Sarah Gerber
-
Mise en scène :
Sarah Gerber
-
Avec :
Camille Broilliard,
Maxime Villeléger,
Cantor Bourdeaux,
Laurent Cogez,
Matej Hofmann,
Charles-Antoine Sanchez
Faut-il tuer César ? Un banquet, le dernier de l’empereur. Ce repas fait sortir des profondeurs les raisons intimes de chacun à participer ou non à l’attentat, à s’emparer ou non du pouvoir par la force, à tuer ou non. Et finalement la décision est prise : César mourra et avec lui la République de Rome, la candeur de ses assassins et les utopies de ses adversaires.