On peut s'approcher de Charlotte etc., mais tout doucement, avec précaution, comme le renard du Petit Prince, et quand enfin on se laisse bercer par les douces mélodies, qu'on baisse un peu sa garde, on peut se faire blesser par des paroles terriblement noires qui font vaciller un énoncé trop rapide de chanson française légère. Avec Yann Féry à la guitare électrique, Charlotte etc. vous dévoile, avec une rare délicatesse, un univers singulier qui envoûte aussi sûrement qu'il séduit.

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