Ils croyaient, corps et âme, que le libéralisme et la dérégulation financière feraient le bonheur de tous. Ils pensaient servir un système raisonnable, fondé sur le mérite et la modernité. La Bonne Nouvelle de Benoît Lambert et François Bégaudeau, met par-dessus bord les croyances de l’idéologie dominante en retournant la foi qui la soutient.

Phia Ménard s’attaque à la vision patriarcale du prince charmant. Portée par cinq performeuses, sa Belle d’Hier évoque la jeunesse figée dans le carcan glacé de l’attente, qui peu à peu se décompose en lambeaux trempés des larmes froides de la désillusion. Sa carapace gît parmi nos idéaux d’hier…

Benoît Lambert ne se satisfait pas d’appartenir à une espèce qui passe le plus clair de son temps à se détruire. En moraliste, il nous livre quelques éléments de savoir-vivre, savoir-survivre, inspirés par des pessimistes de fort calibre (Beckett, Cioran, Rosset ou Schopenhauer), et lance ses questions aux spectateurs.

Six acteurs se présentent devant la scène. Ils s’échangent des histoires vraies et fausses qui s’agglomèrent petit à petit à celles qui sont soufflées depuis la coulisse. Ils vont faire leur entrée sur la scène, plonger dans la fiction et devenir des personnages qui parleront un peu, beaucoup et passionnément une langue de théâtre. C’est la véridique épopée d’une troupe qui s’immerge et s’abîme dans l’espace et le temps d’une représentation. Et nous serons les spectateurs de ce voyage-là pour apprécier, tous réunis, ce que le théâtre nous réserve.

A partir de 8 ans. L’Ogrelet vit seul avec sa mère dans une maison au coeur d’une forêt dense, en retrait de la communauté villageoise. Le jour où il commence à fréquenter l’école et les autres enfants, il découvre sa différence : il est le fils d’un ogre. Pour se délivrer de son attirance pour le sang frais, il devra affronter trois épreuves dont il sortira grandi. Un texte noir et tendre, servi par une écriture fine et intelligente.

A partir de 8 ans. L’Ogrelet vit seul avec sa mère dans une maison au coeur d’une forêt dense, en retrait de la communauté villageoise. Le jour où il commence à fréquenter l’école et les autres enfants, il découvre sa différence : il est le fils d’un ogre. Pour se délivrer de son attirance pour le sang frais, il devra affronter trois épreuves dont il sortira grandi. Un texte noir et tendre, servi par une écriture fine et intelligente.

A partir de 8 ans. L’Ogrelet vit seul avec sa mère dans une maison au coeur d’une forêt dense, en retrait de la communauté villageoise. Le jour où il commence à fréquenter l’école et les autres enfants, il découvre sa différence : il est le fils d’un ogre. Pour se délivrer de son attirance pour le sang frais, il devra affronter trois épreuves dont il sortira grandi. Un texte noir et tendre, servi par une écriture fine et intelligente.

A partir de 7 ans. A désirs extrêmes, punitions extrêmes. Comment montrer les risques du merveilleux sans jouer les ennuyeux ? Avertir ? Punitions, fessées, sermons ? Non. Divertir. Le théâtre !