Matthias de Koning

Matthias de Koning

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De 1999 à hier - Matthias de Koning

“Sauve qui peut” pas mal comme titre

Théâtre de la Bastille, Paris

du 8 au 20 janv. 2008
1h30
CONTEMPORAIN Coup de cœur Terminé
  • De : Thomas Bernhard
  • Mise en scène : Matthias de Koning
  • Avec : Jolente de Keersmaeker, Sara de Roo, Damiaan de Schrijver
Changeant de costumes au son de la Marche de Radetzky, jonglant avec des d’accessoires, tg Stan exalte le sens du grotesque et de la poésie, les multiples registres à l’œuvre dans ces cinq esquisses de Thomas Bernhard où le travail de sape passe avant tout par la langue : une langue rageuse, incantatoire, brillante, qui fait la part belle aux monologues.
“Sauve qui peut” pas mal comme titre

Théâtre de la Bastille, Paris

du 11 au 22 déc. 2007
1h30
CONTEMPORAIN Coup de cœur Terminé
  • De : Thomas Bernhard
  • Mise en scène : Matthias de Koning
  • Avec : Jolente de Keersmaeker, Sara de Roo, Damiaan de Schrijver
Changeant de costumes au son de la Marche de Radetzky, jonglant avec des d’accessoires, tg Stan exalte le sens du grotesque et de la poésie, les multiples registres à l’œuvre dans ces cinq esquisses de Thomas Bernhard où le travail de sape passe avant tout par la langue : une langue rageuse, incantatoire, brillante, qui fait la part belle aux monologues.
Impromptus

Théâtre de la Bastille, Paris

du 10 nov. au 21 déc. 2005
CONTEMPORAIN Terminé
  • Avec : Natali Broods, Matthias de Koning, Tine Embrechts, Alain Franco, Eric Morel, Adriaan Van den Hoof
Spectacles surprise. "En tout cas, ce ne seront pas des improvisations." Tg Stan
Du serment de l'écrivain du roi et de diderot

Théâtre de la Bastille, Paris

du 5 au 23 déc. 2003
CONTEMPORAIN Terminé
  • De : Denis Diderot
  • Avec : Matthias de Koning, Damiaan de Schrijver, Peter Van den Eede
C'est un dialogue paradoxal sur les questions typiques que se posent les acteurs : la forme suprême du jeu de l'acteur est-elle atteinte lorsque le comédien se perd entièrement dans son personnage, comme s'il était en transe ? Doit-il vivre à fond les sentiments et émotions du personnage, ou doit-il être l'observateur impassible de lui-même et de ses collègues ? Le texte de Diderot est servi par le trio flamand sous la forme d'une longue farce.