Dans le cadre du Festival d'Automne à Paris, la troupe flamande des tg STAN fait escale au Théâtre de la Bastille avec leur nouvelle création, Les Estivants de Maxime Gorki. Des amis, tous membres de la bonne société, se retrouvent l'été dans une datcha. Ils ne font rien, sinon parler d'éducation, d'amour, de littérature… Ecrite en 1904 à l'aube de la Révolution, cette pièce montre la léthargie d'un monde qui ne sent pas venir sa fin.

Changeant de costumes au son de la Marche de Radetzky, jonglant avec des d’accessoires, tg Stan exalte le sens du grotesque et de la poésie, les multiples registres à l’œuvre dans ces cinq esquisses de Thomas Bernhard où le travail de sape passe avant tout par la langue : une langue rageuse, incantatoire, brillante, qui fait la part belle aux monologues.

Changeant de costumes au son de la Marche de Radetzky, jonglant avec des d’accessoires, tg Stan exalte le sens du grotesque et de la poésie, les multiples registres à l’œuvre dans ces cinq esquisses de Thomas Bernhard où le travail de sape passe avant tout par la langue : une langue rageuse, incantatoire, brillante, qui fait la part belle aux monologues.

Quand on voit, que voit-on ? Quelles vues partageons-nous ? De cette différence de vue naît, en effet, tout ce qui nous unit et nous sépare les uns des autres. Musique interprétée en direct par quatre musiciens en alternance.

Une vingtaine de fous qui sauront vous convaincre de leur doute. Cette mise en scène chaotique fait de chacun un chef d'orchestre.

Une petite station balnéaire, un médecin qui découvre que l’eau qui apporte la fortune à la ville est polluée. Le médecin se retrouve seul dans son combat pour la vérité. Il sera même déclaré ennemi du peuple. Avec leur jeu physique, rapide, moqueur, les comédiens nous font bien entendre qu’en démocratie l