Le seul-en-scène de Cédric Chapuis touche et bouscule. À mi-chemin entre Forrest Gump et Billy Elliot, Pierre Martin-Bànos incarne un gamin doué, beau de naïveté, vivant une passion défendue pour la batterie. Une expérience scénique d'une puissance de partage et d'émotion exceptionnelle.

Le seul-en-scène de Cédric Chapuis touche et bouscule. À mi-chemin entre Forrest Gump et Billy Elliot, Pierre Martin-Bànos incarne un gamin doué, beau de naïveté, vivant une passion défendue pour la batterie. Une expérience scénique d'une puissance de partage et d'émotion exceptionnelle.

Le seul-en-scène de Cédric Chapuis touche et bouscule. À mi-chemin entre Forrest Gump et Billy Elliot, Pierre Martin-Bànos incarne un gamin doué, beau de naïveté, vivant une passion défendue pour la batterie. Une expérience scénique d'une puissance de partage et d'émotion exceptionnelle.

Le seul-en-scène de Cédric Chapuis touche et bouscule. À mi-chemin entre Forrest Gump et Billy Elliot, Pierre Martin-Bànos incarne un gamin doué, beau de naïveté, vivant une passion défendue pour la batterie. Une expérience scénique d'une puissance de partage et d'émotion exceptionnelle.

Dans la valse de la jalousie, il y a un peu de tous les hommes en Patrick, un peu de toutes les femmes en Sabrina, et assurément beaucoup de vous dans leur couple. Alors finalement, la vie à deux, c’est l'un contre l'autre ? Ou plutôt... tout contre l'autre ?

Le seul-en-scène de Cédric Chapuis touche et bouscule. À mi-chemin entre Forrest Gump et Billy Elliot, Pierre Martin-Bànos incarne un gamin doué, beau de naïveté, vivant une passion défendue pour la batterie. Une expérience scénique d'une puissance de partage et d'émotion exceptionnelle.

«Tous pour un ! Un pour tous !» Qui ne connaît pas la fameuse devise des Mousquetaires ? Elle pourrait être également celle du Grenier de Toulouse qui prend le beau risque de proposer cette superproduction : seize comédiens sur le plateau, un décor transformable, des cascades réglées par des professionnels du cinéma, des costumes d’époque et une fidélité absolue au texte de Dumas.

Une visite guidée absurde où le bon sens - évidemment subversif ! - pulvérise l’actuelle valeur de référence de notre société : l’hypocrisie bien pensante ! Après La Biscotte, la nouvelle comédie d’Antoine Beauville.

«Tous pour un ! Un pour tous !» Qui ne connaît pas la fameuse devise des Mousquetaires ? Elle pourrait être également celle du Grenier de Toulouse qui prend le beau risque de proposer cette superproduction : seize comédiens sur le plateau, un décor transformable, des cascades réglées par des professionnels du cinéma, des costumes d’époque et une fidélité absolue au texte de Dumas.