« Si l’amour savait parler, sa langue serait celle du tango. »
Maria Dolores avait juré de ne plus jamais chanter le tango.
Alors, est-ce l'écho du souvenir, l'appel irrésistible du bandonéon qui a réveillé en elle le sang de cette musique qui coule dans ses veine, ou bien encore l'ombre de sa tante argentine qui l'a éduquée et qui plane au dessus d'elle en permanence ?