Tout public dès 9 ans.
Après L’Anoure en 1995, Blanche Neige en 2008, Siddharta en 2010, Angelin Preljocaj poursuit son exploration des contes en choisissant, comme il aime à le faire, une piste encore inexplorée dans son travail, celle des contes traditionnels d’Asie dont on sait la richesse et la force poétique.
Ainsi La peinture sur le mur plonge le lecteur dans le monde fantastique des contes chinois et révèle le pouvoir « surnaturel » de l’art pictural. Si différentes lectures sont possibles, la notion d’illusion et de transcendance sont ici omniprésentes. C’est au coeur de cet univers insolite qu’Angelin Preljocaj a choisi de s’immerger.
Sans en raconter littéralement l’histoire, ce conte chinois est la source d’une adaptation plus contemporaine. Angelin Preljocaj en gardera la trame mais avec la puissance de son imaginaire, le transposera dans un espace à la croisée des cultures. Il gardera bien sûr l’essence du conte et ses évocations symboliques.
Musique de Nicolas Godin (du groupe Air).
« Mieux vaut connaître ce conte pour en retrouver les échos dans la chorégraphie plus évocatrice que narrative d’Angelin Preljocaj. Le spectateur y erre d’abord un peu à tâtons, jusqu’à l’enchanteresse apparition de la fresque, suggérée par un cadre et par l’immobilité de cinq danseuses. Comme le voyageur, le voilà fasciné par cette image prenant vie et mouvement, pour célébrer le pouvoir du geste pictural. Une splendide scénographie soutient les danseurs (...) » Marie Soyeux, La Croix, 12 octobre 2016
« Cette adaptation est un levier d’invention pour Angelin Preljocaj. Régulièrement, il tente de desserrer l’étreinte de son style fonceur et de son écriture angulaire et rapide. (...) Quelques scènes se démarquent avec bonheur. Une diagonale de couples se souvient des farandoles de l’enfance ; une danse de groupe compact sautille sur place et bat des bras à l’unisson ; une séquence proche du cirque envoie voltiger filles et garçons autour de cordes de cheveux, motifs érotiques de cette Fresque balayée de coups de tête. » Rosita Boisseau, Le Monde, 15 décembre 2017
C’Est un enchantement, la technique bien sûr mais la poésie, le romanesque de ce conte et sa musique, tout nous surprend et donne des frissons
excellent spectacle; très poétique conte; magnifique maîtrise
Incroyable comme chacun des spectacles de Prejlocaj
Créatif, esthétique des corps, de la scène et des lumières...excellent support musical.
Pour 5 Notes
C’Est un enchantement, la technique bien sûr mais la poésie, le romanesque de ce conte et sa musique, tout nous surprend et donne des frissons
excellent spectacle; très poétique conte; magnifique maîtrise
Incroyable comme chacun des spectacles de Prejlocaj
Créatif, esthétique des corps, de la scène et des lumières...excellent support musical.
Un cadre splendide et une ouvre jouée et dansée merveilleusement. Une expérience visuelle, acoustique et sensitive unique que j'ai adorée. Bravo à tous les danseurs et au maitre.
1, Place du Trocadéro 75016 Paris