A l'age de 12 ans, Bernard Nadel rencontre Jeanne et Georges Brassens au fond de l'impasse Florimont. Il garde en mémoire ces précieux moments.
Depuis ses 8 ans, il ne cesse de chantonner le répertoire du poète qu'il admire et respecte. D'abord pour son entourage, puis ici et là en soirée, Chez Djuri à Saint Germain, dans quelques caves parisiennes...
Puis un soir quelqu'un lui déclare : « Georges Brassens aurait été content de vous entendre le chanter »... C'était Michel Wyn qui, jeune réalisateur, l'avait bien connu lors de tournage du film de René Clair Porte des Lilas dont il fut l'assistant.
Un autre soir, sur le pas d'un caveau, Paco Ibañez lui dit : « Chante ! Il faut que tu chantes !... », après qu'ils eurent gratté ensemble quelques chansons.
En 2009, Mario Poletti le remarque et durant 4 ans il se produira lors des journées Georges Brassens au Parc du même nom.
En 2011, et sous l'égide le l'Association Culturelle du 15ème, Bernard Nadel interprète dix chansons dans un disque en hommage au poète disparu 30 ans plus tôt.
Dans un bistrot, celui-là même que Brassens chantait naguère... (« Dans un coin pourri / Du pauvre Paris sur une place / L'est un vieux bistrot / Tenu par un gros dégueulasse... »), il enregistre en 2013 en public un disque de 20 titres (dont 13 de Brassens).
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