Révélation de la scène musicale française de ces dix dernières années, Bertrand Belin sait (presque) tout jouer et possède une voix exceptionnelle. C’est avec Jean-Baptiste Julien qu’il se produit cette fois dans une configuration piano-voix.
Auteur, compositeur, chanteur, musicien, révélation de la scène musicale française de ces dix dernières années, Bertrand Belin sait (presque) tout jouer et il a par ailleurs une voix exceptionnelle. Épousant les méandres d’une écriture très singulière, les chansons de Bertrand Belin ont navigué – au fil des ans – entre la rugosité du folk et la souplesse d’orchestrations plus électroniques, où les claviers ondulent.
Bertrand Belin investit Chaillot, dans une formule largement inédite : un piano-voix avec son complice de longue date Jean-Baptiste Julien (compositeur pour Rachid Ouramdane entre autres). Qui a déjà vu l’animal en groupe lors de concerts toujours intensément magnétiques, sait qu’il aime y ménager un moment pour un titre en duo avec son claviériste. Ce soir l’exception(nel) devient la règle.
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