Condamné à marcher des heures par amour du commerce de proximité, Bilco sillonne la ville hostile et y récolte des blagues absurdes. Entre angélisme bobo et délire sécuritaire, il cuisine des topinambours bios, parce que dehors, c'est la guerre.
Condamné à marcher des heures par amour du commerce de proximité, Bilco sillonne la ville hostile et y récolte des blagues absurdes. Entre angélisme bobo et délire sécuritaire, il cuisine des topinambours bios, parce que dehors, c'est la guerre.
Sélection d’avis du public
Bilco en campagne contre la violence urbaine
Le 3 août 2006 à 15h19
en tous cas la critique parue dans télérama est carrement élogieuse !!! on va tester !