Ce que le jour doit à la nuit

À partir de 7 ans.

Simplement vêtus de la toile légère de leur pantalon blanc, les danseurs semblent s’envoler dans une chorégraphie virevoltante. Au son de musiques sacrées d’Orient et d’Occident (Maxime Bodson, Hamza El Din - Kronos Quartet, Jean-Sébastien Bach, Soufi), ils évoluent entre le jour et la nuit, enveloppés dans une dentelle de lumière. Aux frontières du hip hop, de la capoeira et de la danse contemporaine, ces danseurs font appel à un imaginaire lointain, allant jusqu’à tourner tels des derviches en transe. Un ensemble dansé de figures collectives où force et sensualité captivent le regard.