Danser Casa

Tout public dès 7 ans.

• Une vague permanente d’énergie directe et flamboyante

Deux grands chorégraphes célèbrent l’extraordinaire vitalité de la culture hip-hop à Casablanca. Réunissant huit danseurs, Kader Attou et Mourad Merzouki créent Danser Casa. Le pari ? Passer de la rue à la scène et rassembler le public autour des valeurs de partage et d’ouverture véhiculées par une danse qui bouleverse le paysage chorégraphique actuel.

Complices depuis leurs premiers pas dans l’univers de la danse, les chorégraphes Mourad Merzouki et Kader Attou peuvent s’enorgueillir d’avoir hissé le hip-hop sur le devant des plus grandes scènes du monde. Figures majeures des danses urbaines, ils créent ensemble le projet Danser Casa, avec pour objectif de faire émerger l’importante communauté de danseurs hip-hop qui anime chaque jour les rues de Casablanca.

Dans cette aventure, près de 200 danseurs auront été auditionnés pour seulement huit retenus : sept Marocains et une Congolaise sélectionnés pour la diversité et la richesse de leurs parcours respectifs, qui en y imprimant leur marque, nous offrent une création inédite, reflet de la personnalité de chacun, et inspirée de l’effervescence des rues de Casablanca. Le tout avec la complicité de ces deux grands noms du hip-hop français, devenus de véritables modèles pour toute une génération de jeunes artistes.

Des pieds nus qui trottinent dans l’espace, sautent et tricotent sur un friselis de musique orientale. La fraîcheur et la délicatesse de l’introduction du spectacle Danser Casa ouvre une voie magique.

On s’y engouffre pour être bientôt submergé par une vague permanente d’énergie directe et flamboyante. Baskets aux pieds, plus acrobatiques, les huit danseurs hip hop marocains sélectionnés pour cette production célébrant l’énergie de Casablanca, rivalisent d’intensité. Ourlée de détails comme des jeux de doigts, de bras, la chorégraphie se réinvente dans la joie et le partage, balayant le plateau en long en large et en travers. Sur des musiques électroniques, la complexité virtuose des performances techniques, hip hop mais cirque aussi, rayonne.

Avec cette production, les chorégraphes Kader Attou et Mourad Merzouki, qui se retrouvaient au coude à coude comme à leurs débuts il y a plus de vingt ans, ont majoré leurs talents en distinguant celui des interprètes, tous furieusement présents...

• La presse

« Les différentes techniques, de l'acrobatie au popping, en passant par le parkour, fusionnent dans des envolées chorégraphiques somptueuses et un plaisir de danser palpable. Danser Casa est immédiatement contagieux et ça fait du bien. » Rosita Boisseau, Télérama TT

« Entre force, rage et grâce, on est bluffé par leur niveau technique et leur expressivité. » Sophie Joue, culturebox, 30 janvier 2019

« Une énergie décoiffante, une virtuosité ébouriffante, et une chorégraphie fascinante, telle est la recette de Danser Casa [...] Ils ont su à la fois développer et mettre en valeur le style propre à chacun d’entre eux, et les faire danser « collectif » ce qui n’est jamais gagné avec des as de battle. [...] Ce faisant, ils nous montrent un hip-hop à l’avenir radieux, plein de fougue et d’audaces, qui rappelle aux deux chorégraphes leur propre jeunesse – non sans une pointe de nostalgie. [..] Danser Casa, est un spectacle vitaminé, profondément optimiste, et terriblement humain. » Agnès Izrine, Danser Canal Historique, juin 2018

« [...] cette pièce est un véritable manifeste pour une transversalité humaine et culturelle. [...] Le thème de la pièce est finalement très actuel, l'altérité et son corollaire l'empathie. [...] On sort de ce moment avec une seule envie : étreindre celui ou celle qu'on aime. » François Delétraz, Le Figaro, juin 2018

« Le spectacle est rondement mené, les enchaînements au sol sont de toute beauté, les portés acrobatiques sont renversants. Une troupe est née sous le regard des deux grands frères Kader et Mourrad. Danser Casa donne littéralement le vertige. » Stéphane Capron, sceneweb, juin 2018

« Pacquet de nerfs, les danseurs pieds nus ou en baskets, dévorent le plateau avec l'appétit de ceux qui en veulent. » Février 2019