Au début l’homme est nu. Lorsqu’il vient au monde, l’homme est tout nu.
Puis très vite, il se vêt des névroses de ses parents, qu’il porte fièrement.
Il habille ensuite son cœur de ses petites frustrations, de ses maigres ambitions, de ses désirs sexuels inassouvis… puis enfin, il adopte la grimace qui sied à sa fonction sociale… c’est ainsi qu’il devient un personnage… heureux d’exprimer sa bêtise ou sa méchanceté…
Et c’est là que ça commence à faire rire.
« Avec ses sketches à coucher dehors, ses chansons grinçantes, sa gestuelle géniale et son écriture tordue, il n’y a pas de doute : Bénureau fait mouche. » L’Express
« Si vous n’avez jamais vu Bénureau sur scène, alors courez vite à la reprise de son one-man-show. Il y campe des personnages hors du commun (…) avec une jouissance singulière.
C’est drôle, bien sûr, mais aussi très finement observé. » Zurban
« Autant vous prévenir : ça décoiffe, ça décape, ça déferle.
Son unique ambition ? Voir un spectateur tomber de son fauteuil de rire. Mission accomplie, (…) cet immense auteur-interprète entraîne dans son sillage une noria d’inconditionnels… dont nous sommes. »
A nous Paris !
« Didier Bénureau redonne au spectacle à sketches sa place à part entière. Avec un style bien à lui, un humour méchant, dérangeant, sans complaisance, qui appuie là où ça fait mal. Le Journal du Dimanche
« Si vous manquez de tonus, filez au Théâtre du Rond-Point pour voir le spectacle de Didier Bénureau (…) On est époustouflé devant les métamorphoses de cet homme (…) Il frappe là où on ne l’attend pas. Et ça fait mal… surtout aux zygomatiques. On adore. (…) Une leçon de comédie, mais surtout un formidable spectacle d’humour dont on sort requinqué. » Le Parisien
15, avenue Montaigne 75008 Paris