Séraphin, le Caïd, est un gangster « à l’ancienne », dont les méthodes expéditives n’excluent ni le sens de l’honneur, ni le respect des règles.
Son empire et sa fortune sont bâtis sur toutes les activités frauduleuses du genre (les filles, le racket, les braquages…)
Un jour, Séraphin pète les plombs : un malheur personnel va le plonger dans une prise de conscience étonnante : en finir avec le mal et mettre son intelligence et son énergie au service des belles choses.
Sous l’œil ébahi de ses sbires, il va se reconvertir en artiste peintre, en poète, en philosophe, bref, en un grand personnage bienfaiteur- d’humanité, une sorte de bourgeois gentilhomme au pays des flingues.
Bien entendu, le milieu et les gros durs ne vont pas tarder à réagir…
Une comédie « d’humeur noire » qui rend modestement hommage, au travers du rire, aux dialoguistes célèbres des films du genre.
25, rue Caumartin 75009 Paris