"Quand t'étais petit, tu courais tout le temps, parce que quand t’es petit, tu marches pas, tu cours, où que t'ailles, comme si c'était génial d'aller là-bas… pourtant là-bas, en général, il y avait qu'un chien, l'école, ou un truc sale par terre… mais c'est fou comme c'était chouette un chien, l'école, ou un truc sale par terre. Maintenant quand tu cours, c’est juste pour pas finir dernier. Qu’est-ce que tu veux, t’as pas fini mieux qu’adulte.
Là-bas, il y a plus rien, et mazette comme t’es seul. Toi t’essayes le plus fort possible de croire que non, c’est pour ça que tu donnes dans ce que tu peux : tendresse, sexualité récréative et autres excitants, juste pour fermer les yeux un moment et faire la nique à tous ces plus beaux, ces plus forts, ces plus malins...
C’est pas sale, et ça crée des liens impecs entre les garçons et les filles, même si c’est pas de l’amour - parce qu’on peut aussi tomber amis. Et puis comme disait Monsieur Flaubert : « l’organe génital est le fond des tendresses humaines ».
C’est pour ça qu’il faut peut-être essayer de bazarder la honte, la réserve et tout ce qui va avec le dépit d’être grand, baisser les bras pour mieux pouvoir les tendre, et puis se montrer les kikis comme de rien, avec trucs et astuces en sus."
Véritable phénomène en Suisse où ce spectacle a connu un succès unanime, rêver / grandir / et coincer des malheureuses est enfin présenté à Paris.
En Suisse, Frédéric Recrosio s'exprime partout : sur scène, dans la presse (Le Matin), à la radio (Radio Suisse Romande La 1ère) et à la télévision (Télévision Suisse Romande). Bref, un comédien qui écrit. Et bien.
" Partout où il s'arrête, Recrosio fait salle comble. Un triomphe mérité pour cette grave et néanmoins hilarante analyse de la sexualité masculine." L'Illustré
"(…) vivant, drôle, complice. Sa grande force, c'est son sens de l'observation. En excellent chasseur de tics des hommes et des femmes, il montre ses trophées. Et on se reconnaît dans tous." Le Matin
"Il y a de la poésie dans ce spectacle qui renvoie chacun, et chacune, à la genèse de sa sexualité. (…) Il règle leur compte aux "non-dits", aux dissimulateurs et à la fausse ingénuité des demoiselles. Le déballage pourrait être graveleux, il est hilarant et jubilatoire." La Tribune de Genève
"Encore tout ébloui de sa découverte du paradis terrestre, cet Adam malicieux se sert de l'humour comme d'une feuille de vigne." L'Express
"Cet aveu public soulagera les Casanova aux gros bras tout en faisant naître chez les demoiselles une indulgence toute nouvelle." L'Hebdo
c'est tout sauf la grande classe !! c'est d'une vulgarité et d'une lourdeur rarement atteintes ,si c'est ça la sexualité des trentenaires , c'est misérable et pathéthique !!! oui il est beau et sympathique ...mais on ne fait pas un bon spectacle avec ça !!!
Merci Frédéric! Génial, drôle (très), subtile, vrai (très). Un grand bonheur! Vivement le prochain spectlacle! (2009 en France, ça va être dur d'attendre!)
génial génial génial quel hommage à la femme!
fantastique, comme s'il te racontait des bribes de sa vie accompagné de quelques amis et d'une bonne bouteille de rouge... la grande classe
c'est tout sauf la grande classe !! c'est d'une vulgarité et d'une lourdeur rarement atteintes ,si c'est ça la sexualité des trentenaires , c'est misérable et pathéthique !!! oui il est beau et sympathique ...mais on ne fait pas un bon spectacle avec ça !!!
Merci Frédéric! Génial, drôle (très), subtile, vrai (très). Un grand bonheur! Vivement le prochain spectlacle! (2009 en France, ça va être dur d'attendre!)
génial génial génial quel hommage à la femme!
fantastique, comme s'il te racontait des bribes de sa vie accompagné de quelques amis et d'une bonne bouteille de rouge... la grande classe
14, rue Trévise 75009 Paris