Il y a George, le chat, il y a Peggy, sa maîtresse, qui se surnomme "Mummy". Et puis il y a Isabelle, sa fille. De ces trois personnages, nous tisserons les rencontres, car ces trois voix n'ont qu'un seul minois, celui de Laura Benson.
Fantaisie tragique ou tragédie burlesque, on imagine l'ampleur du drame à la crudité du rire. Nous passerons de quatre pattes à la verticale, de la table à la litière, du canapé à la porte... et d'une langue à l'autre : de miaulements en onomatopées, du français à l'anglais. Car "Mummy" est anglaise, elle a l'exubérance britannique, jusqu'au bout de... ses coups de griffes. Tandis qu'elle vacille entre deux gorgées de vodka matinale "Mummy" parle toute seule tout le temps, enfin presque, Georges n'est jamais bien loin.
Un humour cru au regard tendre.
" La troupe dispose d'éléments riches en fibre comique : Laura Benson entre autres... " Libération
" Laura Benson a imaginé un spectacle d'une grande originalité. (...) On est du côté des Monty Python, du burlesque, de la fantaisie intelligente. Laura Benson nous offre une performance. Sa seule présence et ses dons de mime nous entraînent dans son voyage humoristique. On est au théâtre pour le meilleur" Figaroscope, novembre 2003
"... Laura Benson se taille un joli succès personnel dans le rôle de la nourrice. Elle y met une alacrité pleine de fantaisie... " Madame Figaro
" S'il s'agit d'une comédie mordante, Laura Benson derrière les coups de griffe ne parle que d'abandon et de solitude. Bien vue, cette idée d'un chat révélateur de comportements humains qui qui sont loin de nous être étrangers. " Vincent Josse, France Inter, octobre 2003
" Un régal d’observation et d’humour distancié. Non contentes de jouer ces personnages, Miss Benson nous raconte une histoire émouvante. Bref, le spectacle est une parfaite réussite. On peut s’y rendre en famille avec grand-mère, fifille, belle-maman, toutes en sortiront ravies. Un vrai talent suffit pour faire du bon théâtre. " Le Figaro Magazine
" Sur scène, Laura Benson est à elle seule les trois personnages, passant de la mère à la fille, avec une virtuosité déconcertante. Elle est femme-chat.. Simple numéro d’actrice ? Voluptueuse, inquiète ou mutine, il faut la voir ronronner, cracher, se lécher, s’étirer avec une sensualité équivoque jusque dans ses miaulements. " La Croix
" Rompue à l’art du mime et du clown, la comédienne est d’une expression inouïe et nous régale de son observation pertinente sur l’attachement de l’animal à son maître. Des situations irrésistibles et un humour décapant british en diable, George est au poil. " Zurban
" La proximité qui existe visiblement entre l’actrice et ces trois personnages fait de cette représentation mêlant tragique et drôlerie un moment d’intense jubilation. " Télérama
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