L'escapade

Spectacle jeune public à partir de 5 ans. Un tarif enfant est disponible au théâtre.

• Un véritable souffle de fraîcheur

En ouverture, le concert imaginaire du grand chef d’orchestre Samuel Spaghetti ; puis une arrière scène de théâtre abandonné et… une poupée magicienne, Anna, jaillie de nulle part, qui vient égayer le monde du musicien et donner sa dimension féerique. Avec son air de Colombine espiègle et sa robe rose au froufrou vaporeux, elle surprend Sam à la fin du concert et entreprend de lui prouver que son imagination lui permet de s’évader vers de nouveaux horizons musicaux.

Et voici le face-à-face entre cet éminent chef d’orchestre qui a fait ses preuves sur les scènes du monde entier, et une fée qui cultive avec malice son jardin buissonnier et ses herbes folles !

Entre la pantomime, la farce et le spectacle pour enfants, cette pièce est le théâtre d’une confrontation insolite et un véritable souffle de fraîcheur dans un monde d’adultes. Tout au long d’une leçon de musique riche en rebondissements, Anna joue avec les mots comme avec les notes, fait ployer les idées reçues.

Les rôles s’inversent, la bondissante enchanteresse prend les rênes, apostrophe le public, fait participer les enfants, et en appelle à leur imaginaire. Avec ses outils à elle, un bout de polystyrène, ce « polisson qui s’traîne » et quelques clés de mécanicien, elle invente un nouvel instrument, marie les sons, virevolte…devant un Samuel ébahi qui se prend maladroitement à son jeu.

Par la Cie Garance.

• La presse

« L’auteur, qui a aussi assuré la mise en scène, se délecte avec les mots, les sons, les couleurs et deux comédiens formidables, Christophe Chaumette et Pauline Dumora, dont la jubilation à jouer se transmet immédiatement au public, qu’il ait 7 ou 77 ans… On rit beaucoup et même, on est ému par ces jongleurs de mots et de sons…Et disons-le tout net : ce spectacle, à notre sens, est loin d’être réservé aux seuls enfants. Chacun peut le faire sien. Romain a fait…Fohr ! » La Dépêche du Midi, 2001

« Belle relation d’amitié entre deux personnages, ce spectacle est aussi une évasion vers le monde des enchantements, loin de la froideur et du style convenu : leçon de liberté, en contrepoint des règles de l’art. » Sud Ouest, 2001