La nuit électrique

du 9 décembre 2008 au 14 janvier 2009
1h15

La nuit électrique

Tous les soirs, Maman cuisine dans un café. Tous les soirs, elle laisse les volets ouverts et dit à ses petits que la lune veillera sur eux. Le rituel se répète sans heurt jusqu’au jour où la famille se rend à la Fête foraine. Le même soir, dans l’histoire que Marie raconte à son petit frère pour l’endormir, elle invente une Fête foraine où des enfants sont enlevés par une Ogresse. Pris au jeu, François et sa soeur se convainquent que l’Ogresse et leur mère ne font qu’une et qu’ils seront donnés à manger aux Clowns…

Dès 7 ans.

C’est Mike Kenny que Marc Lainé choisit lorsque Christophe Perton lui propose de mettre en scène un spectacle accessible aux enfants. Auteur anglais reconnu comme l’un des plus doués de sa génération, Mike Kenny est souvent comparé à Edward Bond et Harold Pinter. La nuit électrique, pièce magique et profonde, répond merveilleusement au désir de Marc Lainé, fasciné par l’univers enfantin de la nuit.

Tous les soirs, Maman cuisine dans un café. Tous les soirs, elle laisse les volets ouverts et dit à ses petits que la lune veillera sur eux. Le rituel se répète sans heurt jusqu’au jour où la famille se rend à la Fête foraine. Le même soir, dans l’histoire que Marie raconte à son petit frère pour l’endormir, elle invente une Fête foraine où des enfants sont enlevés par une Ogresse. Pris au jeu, François et sa soeur se convainquent que l’Ogresse et leur mère ne font qu’une et qu’ils seront donnés à manger aux Clowns…

À propos de sa commande à Mike Kenny, le metteur en scène écrivait : « Je voudrais que sa pièce traite, avec l’humour et la profondeur qui le caractérisent, des rapports de l’enfant avec la zone obscure, rapports à la fois effrayés, fascinés, mais ludiques aussi. Sans doute serait-il question dans cette histoire d’affronter ses peurs et, peut-être, d’en sortir grandi. ». Marc Lainé a eu raison de faire confiance à Mike Kenny. Ensemble, ils font surgir de l’obscurité une partition subtile, véritable création spatiale et poétique. Ce spectacle à voir en famille, aborde la gamme des sensations liées au noir : la nuit qui fait peur, la part d’ombre et ses secrets.

Traduction Séverine Magois. Texte publié chez Heyoka jeunesse, Actes Sud-Papiers.

  • La presse

« Une fantasmagorie grinçante et époustouflante.» Télérama

« L'auteur sait rendre lumineux les sujets les plus sombres. Un magnifique spectacle où l'obscurité devient un formidable terrain de jeu, idéal pour frissonner en famille.» Le Dauphiné Libéré

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Spectacle terminé depuis le mercredi 14 janvier 2009

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