A partir de 8 ans.
A la recherche du papillon perdu
Un (petit) voyage initiatique
Extrait
La presse
De retour de voyage, un naturaliste ouvre une valise contenant un papillon extraordinaire. Mais le captif s’est échappé. Il ne reste à l’intérieur de la boîte qu’une fine poussière, trace de son passage… La tentative de retrouver le papillon perdu va entraîner le scientifique vers sa propre métamorphose.
De la musique, chantée ou jouée par un « bouteillophone à cylindre » (genre de boîte à musique bricolée)… Des images mouvantes, dont le magnifique bleu des ailes du papillon, projetées en fond de scène, sur le principe des lanterna magica… Ce spectacle nous entraîne dans le monde merveilleux des papillons, beautés fugaces, et nous invite à la rêverie.
« Le baiser du papillon : une sensation, comme en fermant les yeux, les enfants jouent à se faire peur… et un (petit) voyage initiatique : une recherche d'émotions perdues, une recherche du papillon perdu, de notre papillon à retrouver derrière et sous les formes arrêtées, figées. Le mouvant, la transformation, la métamorphose se révélant plus importants que ce qui semble installé de toute éternité, pour l'éternité. » Eugène Durif
"J’évite toujours de penser à ce que serait, devrait être, pourrait être ce que j’écris. Qu’elle se débrouille l’écriture avec elle-même, avec sa logique et ses rythmes pour savoir où elle en est, où elle s’en va." Eugène Durif
Dans cette valise
Tout ce qu’il y a de plus banal,
En apparence tout ce qu’il y a de plus banal,
Le dernier, le tout dernier papillon morpho.
Vous êtes venu voir cette merveille.
Voir de près cette merveille.
Ce n’est pas tous les jours
Que l’on peut voir,
Voir de ses yeux, un morceau
Du ciel tombé sur la terre.
« Il se dégage de ce spectacle une poésie fragile et envoûtante… Grâce notamment à la musicalité étrange du “bouteillophone à cylindre”, à la belle présence lunaire de Jean-Louis Esclapès et enfin aux projections de lanternes magiques… » Théâtre enfants
« L’aventure d’un naturaliste qui découvre la mystérieuse disparition de son très rare spécimen va nous conduire de surprise en surprise le temps d’une métamorphose inattendue (…). On assiste médusé à un étrange retour de voyage pour un étonnant personnage. Avec le charme d’un spectacle d’illusionniste, cette création nous donne l’impression, en sortant, d’être nous-même un peu plus savant. » Vaucluse L’hebdo
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