Le grandiloquent moustache poésie club

Déconseillé aux moins de 14 ans.

• Humour, slam et poésie

Virtuoses de la parole, irrésistiblement drôles, ils donnent vie à une poésie audacieuse et joyeuse tout en surfant sur une autodérision permanente. Dans ce 3 men show percutant, Astien, Edwood et Mathurin manient avec brio la langue française, pour raconter l’ascension du plus grand club de poésie de tous les temps, des débuts minables jusqu’à la gloire suprême.

Astien : le juste milieu entre Jacques Prévert et Herbert Léonard.
Ed Wood : le juste milieu entre La Marquis de Sade et Aldo Maccione.
Mathurin : le juste milieu entre Stendhal et Pierre Richard.

• La presse

« Pas de décor, pas de musique, uniquement la langue qu’on malaxe, qu’on maltraite parfois mais en tout cas qu’on honore. Et surtout une ironie du début jusqu’à la fin, qui consiste à dire : ce n’est pas du slam, ce n’est pas de la poésie, c’est de l’humour. » France Culture

« Ils sont trois pour ne pas faire comme Les Beatles, portent la moustache pour ressembler à La Joconde de Marcel Duchamp et slament pour mettre la langue française dans tous ses états. Un show poétiquement incorrect qui vous met de bon poil ! » Télérama

« Un spectacle hors-norme, jubilatoire et plein d’esprit où ces joyeux troubadours jouent avec les mots à travers des textes irrévérencieux. » Version Femina

« Ces acrobates de l’allitération et ces contorsionnistes du double sens se faufilent avec malice pour raconter leur histoire (…) Un spectacle au poil. » Le Canard Enchaîné

« Ménestrels libertins, troubadours drolatiques, aèdes de l'autodérision, les trois compères du Grandiloquent Moustache Poésie Club enchantent la langue, et le public avec. » Le Monde Magazine

« On admire la cadence de Mathurin, on est ému(e) par la poésie d’amour d’Astien, ou par l’évocation du Toulon de l’enfance d’Ed Wood, mais avant tout on se marre, (…) Le Grandiloquent Moustache Poésie Club a peut-être trouvé la formule magique qui débarrasse le slam de la neurasthénie un peu maniérée qui le caractérise parfois. » Marianne

« C’est délicieusement intelligent et désopilant. » Pariscope

« Ils slament comme ils respirent, ces trois jeunes mousquetaires moustachus, adeptes des jeux de mots tordus et tordants, troubadours hip-hop, poètes en baskets, chasseurs de vers anti-barbants qu'ils déclament à très haut débit. Il faut les suivre ! Ces trois numéros ont fondé un club, le Grandiloquent Moustache Poésie Club (interdit aux imberbes), et créé un spectacle entre slam et music-hall, avec impros et interventions déjantées dans le public. » Le Point