Les Bonimenteurs

Le spectacle
Le parcours des comédiens
La presse

• Le spectacle

Après plus de 1000 représentations et avant la création de leur nouveau spectacle, les Bonimenteurs viennent fêter leurs dix ans d’existence et la fin de leur tournée.

Le spectacle commence dès l’entrée de la salle où le public inscrit des thèmes qui seront tirés au sort au cours de la soirée. Sans concertation et en véritables professionnels de l’improvisation, Marco et Ducci les jouent et les intègrent à leur histoire tout au long du spectacle. Excellents comédiens, narrateurs, illustrateurs, chanteurs, ils jonglent alors avec les situations et les personnages, traversent les époques et nous emmènent sur des chemins impro-bables.

Complices et virtuoses, ils dominent si bien la situation que notre imaginaire dessine autour d’eux le décor de leurs hilarantes histoires, leur univers débordant de la scène…

Ne ratez donc pas les dernières représentations parisiennes de ce spectacle diablement bien écrit, unique, bluffant de drôlerie et d’inventivité, jamais vulgaire, distillant un humour tout public. Un pur divertissement loufoque et original unanimement salué par la presse : duo de choc – extraordinairement drôle – une rare finesse – énorme talent – prouesse théâtrale surprenante – un humour renversant – les rois de l’improvisation - Véritable régal – Agilité gestuelle et verbale imparable - Stupéfiant, sensé, drôle et rythmé - Des Bonimenteurs de haute volée…

Et n’oubliez pas, Les Bonimenteurs c’est tous les soirs le même spectacle, mais complètement différent !

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• Le parcours des comédiens

Jean-Marc Michelangeli (Marco) et Didier Landucci (Ducci) se sont rencontrés il y a dix sept ans sur les bancs de la Faculté de Lettres d’Aix en Provence. Ils ont suivi des cours d’art dramatique à Marseille et ont fondé leur première structure théâtrale qui revêt aujourd’hui le nom de Boulègue Production. Très vite, ils ont essuyé les planches de divers lieux culturels et ont enchaîné de nombreux spectacles de café-théâtre, entourés de comparses tout aussi passionnés.

Pour parfaire leurs techniques, ils ont approfondi leur formation en abordant d’autres disciplines : la commedia dell’arte, le théâtre de gestes, le clown, le mime, les textes classiques, le travail devant la caméra... Une pluralité qui leur occasionne quelques belles rencontres comme les frères Colombaioni, la Ligue d’Impro Montréalaise, Django Edwards ou encore Carlo Boso, ce dernier avec qui ils collaborent régulièrement.

Ils ont joué dans des spectacles aux registres divers et variés (M. de Pourceaugnac, Les Plaideurs, Embrouille, Les aventures du Capitaine Spadafora, Riquet à la houppe...), ainsi que dans de nombreux courts-métrages (La surface de réparation, L’antibruiteur, René pas Rémi, La pêche au Sargail, Vas-y ah ! ...). Mais, plus que des interprètes, ce sont des " touche à tout " insatiables, artistes dramatiques mais aussi fabricants d’histoires, créateurs de projets, artisans de métier !

C’est donc naturellement qu’ils s’adonnent à l’écriture ou à la mise en scène de pièces de théâtre (Opération Judas, Zorro la légende, Rictus Bellum, Èves, Bienvenue au Club...), et autres concepts TV (M. Frôle la mort, les Caids, A tes souhaits, Hors-jeu...). Ils organisent des stages de formation (tout public, réinsertion, entreprises…) avec comme dénominateur commun de toutes leurs réalisations : l’improvisation théâtrale !

Il n’est donc pas étonnant qu’ils décident un jour de transformer ce formidable outil de création en un spectacle à part entière. En septembre 2001 le duo Les Bonimenteurs est officiel.

Il est chaleureusement accueilli durant un mois entier au Quai du rire à Marseille : c’est le début d’une grande aventure !

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• La presse

« Solliciter le public pour établir une liste de mots à placer dans un scénario (…), l’idée est réellement de construire le spectacle tous ensemble. Bien entendu, les thèmes sont déjantés et particulièrement mal assortis, ce qui provoque des situations cocasses (…). Il y a de tout dans ce spectacle : un bon jeu de scène, du mime, de la danse, des bonnes répliques, des mimiques et même de la chanson ! (…) On vit alors un moment très fort et très drôle, de la pure improvisation. (…) Une performance polyvalente et talentueuse qui nous régale et donne un nouveau souffle au spectacle comique. »La Marseillaise, mai 2005

« (…) Voilà un spectacle rondement mené, qui va crescendo, où le spectateur ne perd pas une syllabe, pas un geste, pas une expression, tout en prenant un grand bol de rire une heure durant ; un spectacle populaire, sans prétention et sans vulgarité. » La Marseillaise, juillet 2005

« L’impro pour remplacer le Prozac ? C’est possible avec ces deux pros : quand les Bonimenteurs passent - ô miracle - le malheur trépasse ! On pouvait craindre le pire : l’improvisation est un art périlleux qui exige une imagination effervescente, une maîtrise souveraine de la scène et une grande technique de comédien. Et alors ? La rumeur avait raison…. Chacun de leurs sketches est un cadeau dont on se délecte… Comment font-ils pour convoquer sur scène autant de personnages timbrés, sans décor, sans accessoires et sans rien savoir de ce qu’ils vont inventer une minute avant le grand saut ? Pour nous emmener d’une mimique, d’une parole ou d’une chanson au cœur de leur imaginaire débridé ? Mystère. Une chose est sure : ce qui se passe entre eux relève de l’alchimie. Autrement dit, d’un travail rigoureux associé au plaisir d’être sur scène… Ce tandem est l’un des meilleurs anti-stress de cet automne. On s’y rue ! » A Nous Paris, novembre 2004

« L’improvisation théâtrale est un art à double tranchant. Mal maîtrisée, elle ennuie et frôle le pathos le plus affligeant. Mais élevée au stade de performance ultime, elle devient terriblement jouissive. Et avec Marco et Ducci, le miracle se reproduit tous les soirs. Jamais vulgaires, toujours fins et créatifs, les Bonimenteurs saisissent chaque thème proposé par le public pour se jouer des mots et des situations. Voyage au cœur de l’inconnu, chaque représentation est sujette aux délires de ce joyeux duo. (…) Un pari risqué mais qui rapporte. Un rire par minute. » Le Figaro magazine, octobre 2004

« Ce qu’il y a de bien avec les Bonimenteurs, c’est qu’il est impossible de s’en lasser. (…) Une performance impressionnante et drôle à ne rater sous aucun prétexte. » Tatouvu mag, octobre 2003

« Attention on devient vite accro des Bonimenteurs. S’inspirant du traditionnel duo de l’Auguste et du clown blanc, Marco et Ducci réinventent le spectacle d’improvisation. Et sans filet, s’il vous plaît. Nos deux compères se livrent à une performance époustouflante chaque soir.(…)En véritable Chevalier Bayard de l’impro, les situations les plus cocasses, les mots les plus ordinaires ne résistent pas à leur imagination débordante. (…) La très grande force de ce spectacle n’est pas finalement leurs improvisations, pourtant excellentes, mais tout ce qui se passe entres elles. Jean Marc Michelangeli et Didier Landucci ont su créer un univers bien particulier. Leur atout est leur complicité. Ils ont énormément de talent. Ils m’ont fait pleurer de rire. » Pariscope, septembre 2004

« Trois ans que ça dure et même pas à court d’imagination.(…) Ils miment, chantonnent, manient comme personne les pièges de la langue française. (…) Une prouesse théâtrale doublée de finesse et d’auto dérision qui n’a pas fini de surprendre. » La Marseillaise, juillet 2004

« Que du bonheur et de la bonne humeur… Un spectacle fou, 100 % improvisation, avec un duo comique renversant. Tout simplement jouissif ! » Corse Matin, mai 2004

« Improvisation et imaginaire étaient les invités d’honneur d’une représentation qui restera unique aux « sommets de l’humour » en raison de son concept original. Une seule constance, les éclats de rire du public (…) une grande maîtrise de cet exercice difficile qu’est l’improvisation, rendue possible par l’expérience et la complicité des deux artistes. » Le Dauphiné libéré, janvier 2005

« Véritables acrobates du rire, Jean Marc Michelangeli et Didier Landucci jonglent avec les mots proposés par le public pour improviser d’hilarantes saynètes.(…) Ils possèdent une évidente complicité et ajoute ainsi la sympathie à la virtuosité. » Télérama, octobre 2003

« ( …) Le duo de choc Jean Marc Michelangeli et Didier Landucci mérite vraiment que vous vous rendiez au théâtre(…) Des maîtres de l’improvisation ! » Le Parisien, octobre 2003

« (…) En quelques secondes, Jean-Marc Michelangeli et Didier Landucci parviennent à inventer n’importe quelle histoire avec un brio hilarant. On passe une soirée vraiment très gaie. » Mai 2003

« Avez vous envie de rire aux larmes durant une heure et demie, ne serait ce qu ‘une seule fois dans votre vie ? (…) Un spectacle diablement bien écrit qui fait la part belle aux improvisations imposées par les spectateurs. Tels deux funambules sur le fil ténu de la justesse, JM. Michelangeli (Marco) et D. Landucci (Ducci) rivalisent de prouesses pour déclencher des rires irrésistibles. (…) Un vrai régal où la vulgarité est absente et la finesse bien réelle. » La Voix du Nord, mai 2003

« (…) Les Bonimenteurs laissent le choix des armes et des thèmes au public. (…) Sans décor, sans mise en scène et sans rien savoir de ce qu’ils vont raconter une minute avant le grand saut… puisqu’ils donnent dans le 100% sans filet. De l’impro, rien que de l’impro… mais de la sacrément bonne ! » L'écho des Savanes, mars 2003

« Déboussolant, démesuré, titanesque, démentiel, spatial, du jamais vu, gigantesque, interactif, mais qui sont-ils ? A deux, ils sont 1000 ! » Tribu move

« L’équation est simple : prenez deux bonimenteurs auxquels vous additionnez une salle de badauds, vous multipliez le tout par une osmose parfaite et vous obtenez une soirée d’improvisation de haute voltige et de « déconnade » collective ! » Le Journal de Saône et Loire, février 2003

« (…) Ces artisans du théâtre, savent allier la parole, le geste, la mimique, la musique aussi et la chanson, et le tout dans de désopilantes improvisations ! Les bons mots tombent à pic, et la rigolade est franche ; parfois l’acteur lui-même a du mal à garder son sérieux. » Le Messager, novembre 2002

« Ils sont deux : le maître et le valet, ou plutôt le gentil et le méchant, ou le bête et l’intelligent. Enfin, bref, ils s’opposent mais ne pourraient se passer l’un de l’autre. Ils se cherchent, s’attendent, se trouvent… Se devinent. Ils ? Ce sont les bonimenteurs. (…) Ils ont une aisance et une qualité d’improvisation réellement impressionnante. Un numéro de haute voltige ! » Midi Libre, juillet 2002

« (…) Attention, si l’impro est une base de travail au théâtre, ces deux compères sont maîtres en la discipline. Ils manient le verbe et les situations les plus cocasses avec talent. Pas de blague à la petite semaine mais un vrai spectacle interactif. » La Provence, juillet 2002

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