Tout public à partir de 8 ans.
Pauvres comme l’art brut, les Kunz s’exhibent comme phénomènes de foire, derniers saltimbanques de la dérision et de l’illusion. Théâtre d’objets, marionnettes, jonglerie… sous la forme d’un cabaret burlesque, exubérant et poétique où chacun ancré dans son destin tragique s’accroche à la vie avec un humour jubilatoire.
Les Kunz sont de la famille des extravagants. Grande famille, s’il en est, de celle qui écume les chapiteaux et autres lieux où le public afflue la nuit tombante.
Les Kunz sont des clowns pratiquant l’art de l’improbable, l’air de rien, ils avancent à pas de géant, empruntant les chemins les plus complexes menant au royaume de l’inutile dont ils sont les maîtres.
Les Kunz n’acceptent qu’un monde fait à leur mesure dont ils ne cessent de transgresser les règles pour mieux rebondir…ou s’affaler…
Les Kunz sont des maladroits, les pieds sur terre, la tête dans les astres ou bien l’inverse. Ils font le métier de rire, c’est un joli métier bien fréquenté. Un métier sérieux qui demande beaucoup de bagages : des planches, des roues, un chandelier, une poêle à frire, des instruments de musique judicieusement bricolés…
Dans le monde du cirque, les clowns sont considérés comme des funambules… sans fil.
Ils ont toujours le dernier mot. Ils serait vain d’insister.
« Ce mélange permanent de précision et de délire rappelle le monde des Nouveaux Nez. (…) Une des créations les plus désaxées de ce début d’année 2004. » Catherine Bédarida, Le Monde, Janvier 2004
« Nikolaus, à l’origine du spectacle, dégage une délicatesse infinie dans le maniement des techniques anciennes du clown. Il jongle, mime, s’étire comme dans un « cartoon », philosophe en silence avec élégance. Un grand clown avec une grande gigue. (…) Un univers de doux dingues excentriques. » Yves Jaeglé, Le Parisien, Janvier 2004
8, avenue Dolivet 92260 Fontenay-aux-Roses
Voiture : N 20 depuis porte d'Orléans - sortir à Bagneux.