Maxence ou le conte du métro

A partir de 7 ans.

• Conte théâtral et musical

Notre cher métro que tout le monde croit connaître et qui est devenu presque invisible à nos yeux, nous réserve encore bien des surprises ! C’est ce que nous montre ce conte, histoire d’une complicité entre un enfant et son grand-père qui a travaillé autrefois dans le métro. Maxence, venant de Bretagne, comme jadis le père du métro, rend visite à son Papi qui lui révèle plein de choses sur ce monde souterrain qu’il connaît comme sa poche. Leurs promenades sont enrichies par des
rencontres qui apportent de nouvelles informations, si bien que Maxence recompose les événements dans ses rêves peuplés de personnages tout droit sortis d’un conte de fée.

Une conteuse et une chanteuse (ou un chanteur) accordéoniste forment un duo espiègle pour vous faire partager l’histoire et faire revivre l’époque de la naissance du métro grâce à des mélodies célèbres du répertoire parisien. Dans cette ambiance un peu magique, grands et petits sont réunis dans une découverte commune qui va les émerveiller. Ce spectacle instruit de façon ludique et permet de nouer un dialogue constructif entre les générations.

Maxence ou le Conte du métro est inspiré des livres d'Elfriede Dubort, Maxence dans le métro et Maxence à Paris. Brigou, auteure, compositrice et interprète, chante des extraits de chansons célèbres (La Seine, La complainte de la butte…) et clôt le spectacle avec une de ses propres compositions : Paris pas fière.

Distribution en alternance.

• La presse

« Un récit original, qui permet d'évoquer l'histoire du chemin de fer souterrain et d'inventer une balade urbaine de la tour Montparnasse à la tour Eiffel, en passant par le Sacré-Cœur,. (...) Un conte musical au parfum nostalgique. » Télérama Sortir T

« Une envolée nostalgique & musicale » Aurélie Courtelle, 25 octobre 2017, Revue spectacle

« Cet intelligent spectacle poétique et musical fait voyager le public dans la capitale, grâce à une foule d'anecdotes mais surtout à l'interprétation de chansons sur la ville Lumière. [...] Lorànt Deutsch n'a qu'à bien se tenir. » Bénédicte Agoudetsé, Le Parisien