Nicolas Koretzky - One man violent

Spectacle interdit aux moins de 16 ans, certains propos pouvant heurter.

Un visage d'ange pour un humour qui décoiffe au point de scalper.

• La presse

"Avec Nicolas Koretzky on ne se pose plus la question "Peut-on rire de tout ?". Trash, gore, iconoclaste, cynique, absolument incorrect politiquement, il nous emmène plutôt du côté d'Hara-Kiri et de Charlie Hebdo que du one man show consensuel pour comités d'entreprise. (...) aucun sujet qui fâche ni tabou n'est évité (...) L'écriture nerveuse, incisive, sans détour, appelle une chatte une chatte et Nicolas Koretzky a bien du talent pour dresser ces portraits au vitriol à accrocher absolument dans la galerie des réussites." Froggy's Delight

"Avertissement. Ses sketchs ne sont pas à mettre entre toutes les oreilles. Derrière son physique de gendre idéal, Nicolas Koretzky ,33 ans, dissimule un chroniqueur redoutable des dérives de notre société, qui ne recule devant aucun tabou. Avec lui on doit être prêt à rire de tout, et particulièrement de ce qui ne prête même pas à sourire. (...)Une dizaine de portraits au vitriol qui ont de quoi faire frémir et qui pourtant soulèvent, une fois passé le choc, les éclats de rire des spectateurs. (…) Ses qualités d’interprétation et son écriture ultraprécise donnent à son spectacle une indéniable efficacité. On pense à Pierre Desproges, à l’humour irrévérencieux d’« Hara Kiri », ou encore à l’univers assez glauque d’un Michel Muller." Hubert Lizé, Le Parisien, 25 Mars 2006

"Nicolas Koretzky n’aime pas les gourous des sectes, les chirurgiens esthétiques cokés façon Nip/tuck, les arrières pensées salaces des agents de cinéma, les antisémites (…) et une pléiade d’autres choses qu’il passe à la moulinette de son humour acide. Un exercice de dénonciation d’autant plus redoutable qu’il est signé d’un jeune homme dont la gueule d’ange laisse prévoir le meilleur des sentiments. Ce sera le pire, donc (…) ce «  one man violent  » est empli de promesse. Koretzky  : tout le monde en parlera bientôt." J-C. B, Le figaro magazine, 8 avril 2006

"(...) Il fait imploser la télé réalité en la poussant jusqu’au concept ultime de « Crever en direct » et elle l’a bien cherché. Il passe la chirurgie esthétique au bistouri, ça saigne et c’est normal. En revanche lorqu’il décrit avec délice le viol d’une vielle dame ou qu’il parle de la nuit des noirs vivants en évoquant le génocide des rwandais, les rires se font plus jaunes. Tour à tour dealer, pédophile, nazi, homophobe, antisémite, il tire à vannes réelles en se vautrant dans le gore. Plus la société est pitoyable, plus il est impitoyable. Son spectacle presse les furoncles de notre monde malade. Ça fait atrocement mal, horriblement rire et, finalement, ça soulage." Alain Spira, Paris Match, 12 mai 2006

"(…) L'originalité de Koretzky est dans le grand écart : entre l'innocence du visage et la monstruosité du propos ; entre le regard et les gestes ; entre ce qu'on lit et voit tous les jours et ce qu'il en fait sans y toucher ; entre la voix et l'autre voix du rire. (…) Il crée un nouveau rapport, décalé, pensé, dépensé. Ce qui le rend plus attachant que la plupart des spectacles de "one man" qui se développent souvent par défaut. (…) Les comiques ont valeur de symptôme. Le temps qu'on décrypte celui de Koretzky, il peut devenir célèbre (…)" Francis Marmande, Le Monde, 15 avril 2006

"Jamais gratuit, le propos est soutenu par une écriture ciselée et une excellente interprétation. (…) Le rire est à la fois omniprésent et libérateur. (…) Un humour noir hyper corsé." Michèle Bourcet, Télérama, 26 avril 2006