Olivier Neveux - Baby Hyde

• Un monde à part

Bercé par le rock et la chanson des poètes, Olivier Neveux se passionne très tôt pour le piano tout en écrivant des poèmes sur sa fiancée. Ses poèmes deviennent des chansons puis des concerts puis un album 5 titres puis enfin son 1er album Baby Hyde sorti dans le courant de l'été et qui se propage sur les ondes.

Des textes plutôt légers sur une musique pop ensoleillée comme un printemps à Capri, mais plus on avance dans son univers contemporain, plus le printemps se mue en hiver nocturne. Un côté rock doux, un son pas banal et beaucoup d'identité : avec sa voix écorchée,Olivier Neveux explore l’âme humaine en jetant un regard fraternel sur les aventuriers à la recherche d’une étincelle, les solitaires malgré eux, les taulardes, les timides et les menteurs. Un monde à part, entre clin d’œil à Paul Auster et hommage à sa pirate de grand-mère, ambiances fumée de cigarettes et corridas sensuelles avec Mademoiselle S.

Son album Baby Hyde est présélectionné pour le Prix Adami - Bruno Coquatrix 2009.

• La presse

« Avec sa voix grave à la limite du cassé, Olivier Neveux pourrait se la jouer Fersen du pauvre ou Arthur H aux petits pieds. Mais cet ACI choisit d’interpréter des textes plutôt légers sur une musique pop ensoleillée comme un printemps à Capri. Ce décalage est vraiment bienvenu et on apprécie les belles qualités d'écriture qui racontent sans jamais démontrer. Mais plus on avance dans le disque, plus le printemps se mue en hiver nocturne. Les textes se font plus sombres et les mélodies plus tendues. On y parle de quartiers portuaires, de femmes faciles et de solitudes urbaines. Dès la troisième chanson, Neveux nous embarque dans son univers poétique et contemporain, mais jamais désespéré. C’est même tout le contraire. Tout est soigné à l’extrême et on se dit que beaucoup d’albums de majors n’ont ni le niveau d’écriture, ni une production aussi soignée ». Eric Nahon, Longueur d’ondes

« Baby Hyde est un clin d’oeil à maître Gainsbourg où Olivier Neveux donne naissance le temps d’une chanson, au fils du fameux Dr Jeckyll dans un univers totalement « gainsbourien ». Avec sa voix grave, son univers rock aux mille teintes et ses textes de grande qualité, Olivier Neveux offre un album incontournable. Il nous emmène dans un cirque, une arène humaine où quelques rayons de soleil viennent apporter un peu de légèreté dans un univers plutôt sombre. Les sentiments se confondent au fur et à mesure que l’on écoute le disque dans lequel on visite un bar glauque (Café serré), où l’on parle de sexe et de prostitution plus que d’amour, sauf lorsqu’il s’agit d’une personne chère, la Grand-mamie, qui compte pour nous tous. Entouré de musiciens talentueux, Olivier Neveux surprend avec ce premier album qui n’a rien à envier aux grands ! » Stéphanie Berrebi, FrancoFans