Pacamambo

Julie n’accepte pas la mort de sa grand-mère. Accompagnée de son chien, Le Gros, elle la cache dans la cave de l’immeuble où elle vivait. Pendant trois semaines, Julie et Le Gros attendent la visite de la Mort.  Julie doit maintenant expliquer son geste. Mais il n’y a rien à expliquer. Elle a simplement voulu rencontrer la Mort, pour lui dire ce qu’elle pense, lui dire sa révolte, « lui mettre de la vie plein les yeux »...  Elle a simplement voulu lui signifier qu’elle n’aura jamais sa place à Pacamambo, ce pays de toutes les lumières, rêvé par sa grand-mère, où les uns sont les autres, où il n’y a pas d’oubli, parce qu’on devient ceux qu’on aime. 

Ils en parlent

« Une pièce de théâtre qui questionne la mort avec fantaisie et offre une étonnante histoire » Théâtre de Sartrouville – Centre dramatique national 

« J’ai tenté, à travers Pacamambo, d’écrire une tragédie pour enfants. Une tragédie, c’est-à-dire une fête où les questions douloureuses sont abordées avec le plus grand ludisme possible tout en faisant confiance à l’intelligence et à l’imagination. Pacamambo c’est aussi une tentative de parler de l’invisible. » Wajdi Mouawad