Sandrine Sénès - Fuckin' Love

Le Mans (72)
le 16 mars 2002

Sandrine Sénès - Fuckin' Love

Silhouette longiligne en forme de point d'exclamation, personnalité très forte à très agitée… Attention !!! Sandrine Sénès débarque !

Présentation  
Le spectacle
Parcours
Quelques mots de la presse

Silhouette longiligne en forme de point d'exclamation, personnalité très forte à très agitée… Attention !!! Sandrine Sénès débarque !

A son menu, une bonne portion de folie, une grosse ration d'inventions, quelques contes de fées en boîte qu'elle vous sert froids sur un lit de salade…

Très remontée contre les codes en vigueur et la réalité flippante, Sandrine part en guerre…

Elle s'élève contre les adultes bien trop sérieux et contre tous ceux qui renoncent à leurs rêves, " qu'est ce qui m'empêche de soulever ma jupe dans la rue pour montrer ma nouvelle culotte, incrustée de pierres semi-précieuses, à tout le monde. "

Sandrine invente alors un monde où tout est possible, où l'on ne s'ennuie jamais, parce que l'on est de l'autre côté du miroir, là où se trame en douce la folie de son personnage.

Entre coups de griffe « trash » et nostalgie lucide sur nos illusions enfantines.

Ce spectacle vachard et tendre à la fois pulvérise les contes de fées où les princes charmants deviennent des êtres lâches, adeptes avachis de la télécommande TV et de la bière. Sandrine campe une mère de famille acide et sans pitié qui n’épargne rien, ni personne et surtout pas nos rêves de gamins. Elle braque une lumière crue sur le pervers Babar, pseudo-roi des éléphants, revisite les coulisses sadiques du Père Noël et balance des sorts sournois à la pelle pour se venger d’un ex qui avait joué et triché sous son costume trompeur de super-héros. 

Même les poupées de son enfance se transforment en corps lubriques aux envies inextinguibles. Et quand elle interroge son miroir, c’est pour aussitôt hacher menu les contes acidulées où les hommes et les femmes finissent toujours par révéler leur face cachée jusqu’à incarner les plus vilains défauts

Dans une galerie au vitriol de personnages loufoques et décalés, Sandrine Sénès fait se rencontrer les frustations du monde adulte et les illusions évanouies de l’enfance dans un univers corrosif et touchant où l’humour demeure encore la meilleure des thérapies.

Sandrine Sénès a débuté sur la Côte d’Azur en jouant avec la troupe « Incohérence d’Acteurs ». Puis elle enchaîne très vite une carrière solo avec un premier spectacle de café-théâtre, « Mickey de la Tête » qui lui ouvre ensuite les portes du Festival du Point Virgule en 1998. Un tremplin qui lui permet d’occuper l’année suivante les planches des Blancs Manteaux avec le spectacle « Il était une folle ». 

Aujourd’hui, Sandrine Sénès propose un nouveau spectacle « Fuckin’ Love » qu’elle a imaginé avec une bande de complices percutants parmi lesquels on retrouve à l’écriture, Sarah Belhassen, journaliste radio et Jean-Luc Lemoine, comédien et chroniqueur dans les émissions de Laurent Ruquier, sans oublier à la mise en scène, Philippe Sohier qui collabore également avec l’humoriste Christophe Alévêque.

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Le spectacle fait se rencontrer les frustrations du monde adulte et les illusions brisées de l'enfance.

Sandrine Senes campe un personnage de mère de famille " trash " et sans pitié qui revisite sans cesse nos mythes, nos plus belles histoires et nos plus beaux contes de fées avec un œil critique et une langue chargée d'acide.

Autre classique passé à la moulinette, la relation hommes-femmes, très éloignée de l'idéal imaginé à l'adolescence. Alors, pour mieux comprendre ce qui se passe dans la tête des hommes, Sandrine change de sexe l'espace de quelques minutes et va se battre dans les bars, juste pour voir ce que ça fait.

Elle n'épargne rien ni personne, Babar, le gentil éléphant ; que l'on serrait dans ses bras quand on était petit ; prend des allures de pervers.

Et pour se venger de son ex, Sandrine se transforme en fée et lui jette quelques sorts de nature à lui gâcher la vie.

En bref, il faut s'accrocher à son scalpel et suivre la comédienne dans ses délires qui sont en fait un appel à l'esprit critique et préconisent la meilleure thérapie qui soit pour faire le deuil de ses rêves : l'humour.

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Sandrine Senes a débuté sur la Côte-d'Azur en jouant avec la troupe " Incohérence d'Acteurs ". En 1998, toujours dans la région, elle s'adonne au café-théâtre en solo. Son premier spectacle " Mickey de la tête ", lui ouvre la porte du festival du Point Virgule, fameux tremplin parisien. Les Blancs-Manteaux embrayent sur un coup de cœur en la programmant un an avec le spectacle " Il était une folle ".

Aujourd'hui, Sandrine présente son nouveau spectacle qu'elle a co-écrit avec Sarah Belhassen, journaliste RTL2 ET Jean-Luc Lemoine, comédien, chroniqueur de Laurent Ruquier sur Europe 1 et France 2, mise en scène de Philippe Sohier.

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" Il est indéniable qu'elle souffre d'un mal d'affection chronique qui la pousse à exister à travers une galerie de personnages hantés par la quête obsessionnelle de l'amour éternelle. " Le Pariscope

" Entre ironie mordante et humour vachard, cette nana déglinguée, tout droit sortie d'un dessin animé, voire d'une B.D. de Claire Brétecher, tire sur les couettes là où ça rappelle de mauvais souvenirs. " Nice Matin

" Une féminité qui n'attend rien des hommes tout en clonant leurs penchants les plus grossiers. Le constat est dévastateur. " Sud Ouest

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Informations pratiques

Pâtis

38/40, rue d'Eichthal 72000 Le Mans

Spectacle terminé depuis le samedi 16 mars 2002

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