Inclassable, ce spectacle de cirque tunisien rattrapé par l’actualité, dénonce avec douceur la violence du monde. Neuf artistes issus de l'École Nationale des Arts du Cirque de Tunis disent l'impossible et le silence avec leurs corps et portent sur scène les élans qui les animent.
Pour parler de leurs rêves, de leurs blessures et de leurs espoirs, Sarkha croise les langages et fusionne les techniques circassiennes. Chef d’orchestre d’une partition délicate, Laurence Levasseur nous offre un hymne à la vie, un hommage aux poètes tunisiens où le cirque, la danse et le théâtre s’entremêlent pour faire dialoguer le verbe et la chair.
Sarkha est le « cri de nos silences », dit-elle, à la fois prétexte et provocation pour faire surgir chez le spectateur des sensations enfouies. Un cri visuel et musical venu de l'autre rive de la Méditerranée.
Créé en 2009, ce spectacle témoigne, aujourd’hui plus que jamais, des espoirs de toute une génération.
" Sarkha est un spectacle extrêmement doux qui dénonce des choses très fortes, comme la violence, l'obscurantisme, la solitude... " La Presse de Tunisie – oct 2009
" Sarkha ou le cri du silence d’une population censurée pendant plusieurs décennies " . Nice Matin – fév 2011
" Un hymne à la vie d’une grande poésie " . La Provence – 12 février 2011
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