Un grand clown
Un seul but : faire rire
La presse
Spectacle de clown tout public à partir de 7 ans.
Buffo est un type comme tout le monde qui ne ressemble à personne. Buffo s’étonne et nous surprend. Depuis trente ans, il regarde la vie qui va, qui se fait et se défait, il s’inquiète et s’enthousiasme, grogne et trépigne des pieds et rit au bord des larmes. Il est ici et ailleurs, étranger à la mesquinerie, à la violence et à la férocité.
Buffo a l’œil rieur et mélancolique des angelots au nez rouge, ceux que l’on croise du côté des étoiles quand le ciel est clément. Buffo a la silhouette gracile des elfes, il est obstiné comme un flamand rose, moqueur comme le merle de la chanson. Buffo est aussi musicien, il joue des cordes, petites et grandes. Et puis Buffo est un grand clown.
Pour fêter ses trente ans, Howard Buten, son créateur, nous invite à suivre son Buffo depuis ses premiers pas aux Etats-Unis jusqu’à son envol en France.
Quand on rit, c'est qu'on se sent bien, non ?
Je pense toujours comme à 5 ans, mon regard sur le monde est le même. J'aime toucher les choses quand personne ne me voit, je renifle les objets, j'ai des comportements assez enfantins. Je ne suis pas sûr que cela soit bien...
Dans les coulisses, je suis encore Howard, en train de penser à mon institution d'autistes. J'entre en scène, et je deviens Buffo... Il n'existe que le temps du spectacle. Et il n'a qu'un seul but : faire rire. Plus je fais rire, plus je suis fier de moi. Voilà, je sers à ça sur terre depuis mon plus jeune âge : à distraire, à écrire des romans, à soigner des autistes graves.
Howard Buten (entretien octobre 2000 dans l'Express)
« Tout son talent réside dans ces quelques minutes où se mêlent l’illusion, la poésie et la finesse. Le clown est triste, le clown fait rire, mais le clown est malicieux. Pas vraiment comique, pas toujours drôle et pourtant plein d’humour, voilà un spectacle où l’on ne rit pas à gorge déployée, mais où l’on s’émerveille. Un spectacle qui fait du bien. » Le Figaro magazine, février 2005
« Réjouissant pour les petits qui veulent être grands. Et vice versa. » C.L., Zurban, février 2005
« Buffo est un clown extra-ordinaire. À partir de rien, il crée le merveilleux et nous emmène ailleurs. Il renverse les lois de la nature, détourne le sens des choses terrestres pour les rendre plus belles. » Pariscope, février 2005
C'était il y a un an : perdu au milieu d'une salle pleine à craquer d'un public initié ou curieux, je découvrais, occupant toute l'immense scène du théâtre, cet étonnant personnage, semblant tombé tout droit d'une autre planète, dépourvu du moindre mot intelligible pour communiquer avec nous, et trimbalant sur scène divers instruments de musique dont il ignorait manifestement l'usage... Au fil des tentatives, Buffo (c'est son nom), finissait par découvrir (par hasard) l'utilisation correcte de ces objets tout nouveaux pour lui. En même temps, Il découvrait, avec la musique, à défaut de parole, le moyen d'entrer en contact avec nous. Du début à la fin du spectacle, Buffo nous mène entre rire et poésie ; après le spectacle, on se souvient qu'Howard Buten (c'est le nom du monsieur qui prête chaque soir son corps et sa voix à Buffo) soigne, le jour, des enfants autistes, alors on revoit le spectacle dans nos souvenirs sous un angle nouveau, et au rire et à la poésie on ajoute l'émotion...
C'était il y a un an : perdu au milieu d'une salle pleine à craquer d'un public initié ou curieux, je découvrais, occupant toute l'immense scène du théâtre, cet étonnant personnage, semblant tombé tout droit d'une autre planète, dépourvu du moindre mot intelligible pour communiquer avec nous, et trimbalant sur scène divers instruments de musique dont il ignorait manifestement l'usage... Au fil des tentatives, Buffo (c'est son nom), finissait par découvrir (par hasard) l'utilisation correcte de ces objets tout nouveaux pour lui. En même temps, Il découvrait, avec la musique, à défaut de parole, le moyen d'entrer en contact avec nous. Du début à la fin du spectacle, Buffo nous mène entre rire et poésie ; après le spectacle, on se souvient qu'Howard Buten (c'est le nom du monsieur qui prête chaque soir son corps et sa voix à Buffo) soigne, le jour, des enfants autistes, alors on revoit le spectacle dans nos souvenirs sous un angle nouveau, et au rire et à la poésie on ajoute l'émotion...
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