Une comédie névrosée politiquement incorrecte. Un trouble obsessionnel compulsif va naître dans la tête d'un jeune avocat radié de l'ordre pour s'être dénudé en pleine audience. "Et si j'avais envie de me jeter par la fenêtre ?" Va-t-il sauter ? Va-t-il déménager au rez-de-chaussée ?
Complètement disjoncté, un univers très particulier. Bien plus qu'un spectacle, une expérience théâtrale. Sans doute le plus grand succès du festival off d'Avignon 2007.
"Je vis depuis dix ans entouré de fous. Je note depuis dix ans les histoires qu'ils me racontent. L'une d'elles m'a particulièrement troublé car j'y ai été intimement mêlé. J'ai été le créateur involontaire d'une obsession ou plus justement, d'un Trouble Obsessionnel Compulsif ! Chamboulé par cet épisode, j'ai voulu découvrir l'homme que j'avais contaminé. Je me suis rapproché de lui, il est vite devenu l'un de mes amis. Dans le plus grand secret, je me suis inspiré de notre histoire, de nos conversations pour écrire cette pièce de théâtre. Une fois fier de moi, je lui ai soumis le fruit de mon travail. Il a lu, il a rit, il est aujourd'hui (presque) guéri..." Augustin D’Ollone
Le décès accidentel de la moitié de leur ancienne troupe dans l'attentat du World Trade Center, fait sur Xavier et Augustin l'effet d'un électrochoc : " et si nous en profitions pour enfin engager de bons comédiens ? " se dirent-ils. La troupe d'art dramatique nationale de France de théâtre était née.
Subventionnée à hauteur de 0% par l'Etat, absolument pas produite par Dominique Farruggia, la troupe d'art dramatique nationale de France de théâtre dispose de moyens financiers considérables accrus par divers détournements d'aides sociales (RMI, aide au logement, aide aux personnes handicapées).
Le nom de la troupe : Troupe d'Art Dramatique Nationale de France de Théâtre (si vous trouvez le nom de notre troupe trop long nous vous proposons dans un premier temps de nous le dire par courrier et dans un second temps d'aller vous faire foutre) n'a aucun sens et la pour principale vocation d'irriter un de mes oncles militaire dégradé qui ne supporte pas les pléonasmes.
L'ambition de la troupe est très claire : créer une institution qui dans les 20 prochaines années remplace la comédie française afin d'utiliser les fonds publics pour aller dans des restaurants hors de prix avec des metteurs en scène chinois qui finissent leurs nuits dans des bars à pute.
"On rit beaucoup dans ce spectacle écrit par Augustin d'Ollone… proche de la dérision maîtrisée d'un Woody Allen." Le Figaro, 17 décembre 2004
"Le public repart hilare et tocqués." Le Figaro Magazine, 29 octobre 2004
"Une maison de fous dont on sort abasourdis et hilares." Pariscope, 17 novembre 2004
"Cocktail jubilatoire de lubies débilitantes avec pics de fous rires et parenthèses de vide qui nous mènent au bout du bout de l'absurde." Zurban, 29 septembre 2004
"Des comédiens drôles, naturels, qui donnent le meilleur d'eux-mêmes et qui, dans cette époque morose où les occasions de rire deviennent rarissimes, mériteraient d'obtenir le Molière du rire…" Paru-Vendu, 2 décembre 2004
Franche rigolade et folie furieuse au théâtre des Déchargeurs avec T.O.C." ParisSortir, 25 novembre 2004
"Cette pièce est le secret le mieux gardé de Paris, cumul d'une mise en scène innovante et de dialogues cinglants aux punchlines incisives." Size XL, mars 2004
12, rue Edouard Lockroy 75011 Paris