Cécile a soutenu deux mémoires sur la violence et l’obscénité dans le théâtre contemporain. L’envie de mettre en scène Festen est née très rapidement et est confortée par les rencontres qu’elle fait dès sa première année au Cours Florent. Le théâtre est envisagé par Cécile comme un élan de résistance, de révolte face à un monde qui va mal. Cécile est aujourd’hui animée par cette volonté de parler des drames de l’ « humain ». Il faut que le théâtre soit un lieu où l’on parle de tout le monde et à tout le monde. On découvre aussi Cécile en performance de danse contemporaine, dans des festivals de théâtre, des créations collectives et d’autres mises en scène.