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De 1999 à hier - Claude-Bernard Perot
Minetti
L'étoile du nord, Paris
du 17 mars au 4 avr. 2009
1 h 30
CONTEMPORAIN
Terminé
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De :
Thomas Bernhard
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Mise en scène :
Patrick Michaëlis,
Guy Lavigerie
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Avec :
Zbigniew Horoks,
Claude-Bernard Perot,
Patrick Michaëlis,
Maryse Ravera,
Jean-Marie Lardy,
Sarah Rees
Minetti, l’acteur dans un hall d’hôtel de Ostende, pour un rendez-vous avec le directeur de Théâtre de Flensburg, pour jouer Lear, pour le bicentenaire du Théâtre de Flensburg, après trente deux ans de retraite à Dinkelsbühl suite à son licenciement de la direction du Théâtre de Lübeck, pour avoir refusé de jouer des auteurs classiques.Une cérémonie grotesque et funèbre, dans ce hall d’hôtel, antichambre du Théâtre, pour un rendez-vous qui n’aura pas lieu.
Quand nous nous réveillerons d'entre les morts
Espace culturel Boris Vian aux Ulis, Les Ulis
CLASSIQUE
Terminé
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De :
Henrik Ibsen
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Mise en scène :
Jacques David
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Avec :
Dominique Jacquet,
François Macherey,
Claude-Bernard Perot,
Johanne Thibaut,
Claude-Bernard Perot,
Pierre Tessier,
Jean-Pascal Abribat
La dernière pièce d’Ibsen, écrite peu avant sa mort et qualifiée par l’auteur lui-même « d'épilogue dramatique » a des airs de testament autobiographique.
Quand nous nous réveillerons d'entre les morts
Théâtre Jean Arp, Clamart
CLASSIQUE
Terminé
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De :
Henrik Ibsen
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Mise en scène :
Jacques David
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Avec :
Dominique Jacquet,
François Macherey,
Claude-Bernard Perot,
Johanne Thibaut,
Claude-Bernard Perot,
Pierre Tessier,
Jean-Pascal Abribat
La dernière pièce d’Ibsen, écrite peu avant sa mort et qualifiée par l’auteur lui-même « d'épilogue dramatique » a des airs de testament autobiographique.
Quand nous nous réveillerons d'entre les morts
Cartoucherie - Théâtre du Chaudron, Paris
du 31 janv. au 12 févr. 2008
1h30
CLASSIQUE
Terminé
-
De :
Henrik Ibsen
-
Mise en scène :
Jacques David
-
Avec :
Dominique Jacquet,
François Macherey,
Claude-Bernard Perot,
Johanne Thibaut,
Claude-Bernard Perot,
Pierre Tessier,
Jean-Pascal Abribat
La dernière pièce d’Ibsen, écrite peu avant sa mort et qualifiée par l’auteur lui-même « d'épilogue dramatique » a des airs de testament autobiographique.