Acteur, metteur en scène et compositeur belge d’origine congolaise, Denis Mpunga arrive en Belgique en 1971. Il fait ses débuts au théâtre au Jeune Théâtre Populaire de Liège, puis à vingt ans, il entreprend des études de psychologie et travaille parallèlement aux Jeunesses Musicales. Sa passion pour la musique l’amène à fonder en 1979 le groupe Gomma Percussions (musique traditionnelle d’Afrique de l’Ouest), et en 1985 le groupe Eko-Kuango (afro-jazz).
Au théâtre, il travaille sous la direction de Jacques Nichet dans La Tragédie du Roi Christophe (Cour d’honneur, Avignon, 1996) ; d’Alain Timar dans En attendant Godot ; de Marcel Delval dans Edmond ; de Michel Dezoteux dans Richard III ; de Jacques Delcuvellerie dans Anathème…
Au cinéma, il joue dans Marguerite de Xavier Giannoli avec Catherine Frot ; Dead Man Talking de Patrick Ridremont pour lequel il est nominé aux Magritte du Cinéma belge ; Ascension de Ludovic Bernard ; Antoinette dans les Cévennes de Caroline Vignal ; La Page blanche de Murielle Magelan.
Il met en scène Chant d’éléphant pour la Lynx Company (2001), Atterrissage de Kangni Alem (2004), Jaz de Koffi Kwahulé (2006), En Blanc de Cécile Cozzolino (2007), Ma Famille de Carlos Liscano (2008), Les Recluses de Koffi Kwahulé (2009), Udukino création collective (2009), We call it love de Felwine Sarr (2015), Il nous faut l’Amérique de Koffi Kwahulé (2018) et La vie comme elle vient d’Alex Lorette (2022).
Cet(te) artiste n'est pas lié(e) en ce moment à un spectacle.
MC93, Bobigny
Dans la région des Grands Lacs d’Afrique, en une seule nuit, tous les lacs, les fleuves et les rivières se sont vidés. La moindre étincelle pourrait mettre feu à la terre entière. Que s’est-il donc passé ? Comment rendre à ce paysage une vie harmonieuse ? A partir de 6 ans.
Théâtre Jean Arp, Clamart
Seul à vouloir porter les révélations scandaleuses sur la pollution industrielle d’une station thermale, Thomas se trouve confronté à l’isolement et au rejet de toute la communauté.
L'Azimut - Théâtre La Piscine, Châtenay-Malabry
Après Molière, Tchekhov ou Shakespeare, la compagnie Kobal’t s’empare de la langue de Koltès pour déclarer une nouvelle fois son amour du jeu et du drame intime. Mathieu Boisliveau a choisi de mettre en scène ce combat entre soi et l’autre, entre mensonge et vérité, à l’intérieur de quatre murs qui empêchent toute fuite vers un ailleurs.
Théâtre de la Bastille, Paris
Après Molière, Tchekhov ou Shakespeare, la compagnie Kobal’t s’empare de la langue de Koltès pour déclarer une nouvelle fois son amour du jeu et du drame intime. Mathieu Boisliveau a choisi de mettre en scène ce combat entre soi et l’autre, entre mensonge et vérité, à l’intérieur de quatre murs qui empêchent toute fuite vers un ailleurs.