D'après La Vie devant soi de Romain Gary (Émile Ajar). Une vieille pute juive, un enfant algérien, de la musique, beaucoup d'émotions et un seul message : « il faut aimer ».

Dans la langue gouailleuse et malicieuse de Romain Gary (Ajar), Bruno Abraham-Kremer se glisse dans la peau d'un ancien chauffeur de taxi et nous raconte l’histoire d'une rencontre miraculeuse... Il nous entraîne sur les trottoirs d’un Paris populaire, dans un mélo tragi-comique, joyeux et nostalgique à la fois, avec l'immense talent qui est le sien.

Dans la langue gouailleuse et malicieuse de Romain Gary (Ajar), Bruno Abraham-Kremer se glisse dans la peau d'un ancien chauffeur de taxi et nous raconte l’histoire d'une rencontre miraculeuse... Il nous entraîne sur les trottoirs d’un Paris populaire, dans un mélo tragi-comique, joyeux et nostalgique à la fois, avec l'immense talent qui est le sien.

Romain Gary, avec ce premier titre publié sous le pseudonyme d’Émile Ajar en 1974, écrit une fable humoristique étrangement annonciatrice de la société individualiste et technocrate qui va grandissant depuis. Son adaptation théâtrale aujourd'hui est sensible et criante d'actualité.

Michel Cousin, statisticien, mène une vie tranquille, trop solitaire à son goût. A l'occasion d'un voyage en Afrique, il tombe instantanément amoureux d'un python de deux mètres vingt, le nomme « Gros-Câlin » et le ramène dans son appartement parisien...