Pour adapter la trilogie filmique de Paul Morrissey au théâtre, Pierre Maillet a choisi d’en faire un diptyque : la première partie, New York 68, regroupe Flesh et Trash. Avec Denis Lejeune, Mathieu Cruciani.

Béatrice et Bénédick n’ont pas grand chose à partager et pourtant, à la cour de Messine, on a décidé qu’ils s’aimeraient. Entre self-control et besoin de l’autre, entre don de soi et peur de se perdre, le conflit amoureux n’a pas pris une ride. La scénographie intemporelle choisie par Jean-Claude Berutti trouve la distance pour nous le faire comprendre. En vers ou en prose, dans la très belle traduction d’André Markowicz, Beaucoup de bruit pour rien, grande pièce baroque plongée dans une Sicile où on ne badine pas avec l’amour, l’honneur ou la virginité, emballe sa cour dans les ronciers du sentiment amoureux.

Béatrice et Bénédick n’ont pas grand chose à partager et pourtant, à la cour de Messine, on a décidé qu’ils s’aimeraient. Entre self-control et besoin de l’autre, entre don de soi et peur de se perdre, le conflit amoureux n’a pas pris une ride. La scénographie intemporelle choisie par Jean-Claude Berutti trouve la distance pour nous le faire comprendre. En vers ou en prose, dans la très belle traduction d’André Markowicz, Beaucoup de bruit pour rien, grande pièce baroque plongée dans une Sicile où on ne badine pas avec l’amour, l’honneur ou la virginité, emballe sa cour dans les ronciers du sentiment amoureux.

Avec les élèves de seconde année de l’École du Centre Dramatique National. Le jeune roi de Navarre et ses trois compagnons, Berrowne, Longueville et Dumaine, font vœu de célibat pendant trois ans afin de se consacrer à l’étude. Mais, à peine ont-ils prêté serment qu’arriven