Avec pour toile de fond les panoramas bucoliques de la Yougoslavie de son enfance, Nadj met en scène deux danseurs et deux musiciens. L'étranger, le poète, le peintre vagabond et l'ancien lutteur devenu sculpteur constituent les figures par lesquelles le chorégraphe évoque les mutations de la nature, des rapports amicaux, de la création...

Trois pièces courtes comme trois facettes d’un même chorégraphe, trois morceaux d’un même puzzle : celui de l’identité d’Abou Lagraa. Toujours dans l’esprit d’une danse ronde et généreuse, solo, duo et quintette s’enchaînent sur le fil d’Ariane d’une musique qui décline la transe dans tous ses états.

Au programme : Vénus Pénis Production de Cyrill Davy, Bêtes de scène - cocus magnifiques de Claudia Gradinger, Old (et New) movements for new (et old) bodies de Marco Berrettini.