Après Et le coq chanta… puis D’autres le giflèrent, la Compagnie poursuit son exploration des Passions de Bach. Chanteurs, musiciens, comédiens tous ensemble sur scène et sans partition. Du spectacle total ! Puis il devint invisible nous invite à réactiver notre écoute de Bach, à questionner l’incarnation et la désincarnation dans un dispositif sensitif aux frontières du réel.

Mettre en scène la Cène... Il fallait bien l’oser ! Conçu à partir des quatre différentes Passions composées par Jean-Sébastien Bach, ce spectacle propose de redécouvrir l’œuvre musicale et le texte des Évangiles et de jeter un œil neuf sur ce que l’on pensait savoir et connaître par cœur. Spectacle en allemand surtitré en français.

Trois femmes - victime, bourreau et témoin extérieur - relatent leur expérience très personnelle de la prise d’otage d’un théâtre moscovite en octobre 2005. Leur parole s’entrelace à un rythme effréné et nous emporte avec virtuosité au cœur du drame. Une véritable invitation à réfléchir aux racines de la violence.

Trois femmes - victime, bourreau et témoin extérieur - relatent leur expérience très personnelle de la prise d’otage d’un théâtre moscovite en octobre 2005. Leur parole s’entrelace à un rythme effréné et nous emporte avec virtuosité au cœur du drame. Une véritable invitation à réfléchir aux racines de la violence.

La dépendance, l’isolement, le dégoût, la quête de reconnaissance, la recherche de compétitivité… A travers ces 5 personnages, l’auteure berlinoise Gesine Danskwart racontent nos vies contemporaines au travail, sans fard et sans explication.