Laure Guizerix commence son parcours, avec Henri Ronse et le Théâtre Oblique, en jouant des auteurs comme Strindberg, Artaud, Yats, Kafka, Maeterlinck, Racine, Corneille, ainsi que des contemporains comme Jean Audureau et Paul Willems. En rencontrant Joe Chaikin (Open theater) et Lenny Sack, Bill Raymond (Mabou Mines), elle participe à des pièces comme Trio, Cold Harbour, et The survivor and the Translator. Sous la direction de Pierre Chabert, elle interprète Mercier et Camier de Beckett.
La rencontre avec Jean Gillibert marque une étape importante : avec ce poète et homme de théâtre, elle joue La Cantate à trois voix de Claudel, puis Eurêka, d’après des poèmes d'Edgard Poe, au Théâtre de la Poésie à Paris. En 1999, au Lavoir Moderne Parisien, ce seront Les Frères Karamazov, une adaptation du roman de Dostoïesvski, et Le Mort-Homme, poème ballet de Jean Gillibert. Au Théâtre de Proposition, L'illusion des beaux jours, d'Alain Laurent. En 2000, Les Barbares, au LMP et l’Athalie de Racine, aux Granges de Port Royal.
En 2001, elle participe à la création de L'école imprêvue, de Gérard Lépinois, dans une mise en scène de Claude Bernhardt (Cie Actuel free théâtre). Puis ce sont Les Vagants, un poème théâtral de Jean Gillibert, avec Jean-Christophe Paré et Alain Kremski au Théâtre Poème de Bruxelles, au CDN du Campagnol, ainsi qu’aux festivals de Saint-Céré, Auteurs en acte et Porrentruy.
Elle aime aussi, et ce depuis le début de son travail pour le théâtre, se donner à la lecture de poètes contemporains ou disparus. Tout dernièrement, elle met en projet La mort d'Anna Karénine, d'après le roman de Tolstoï, dans une adaptation et mise en scène de Jean Gillibert.
Cet(te) artiste n'est pas lié(e) en ce moment à un spectacle.
Théâtre Darius Milhaud, Paris
Théâtre Darius Milhaud, Paris
Nesle, Paris
Bouffon Théâtre, Paris
Lavoir Moderne Parisien, Paris