Pauvre Madame Butterfly ! De ce thème classique de femme séduite et abandonnée, Giacomo Puccini tire un opéra à l’orchestration luxuriante et au lyrisme ardent. Pour Robert Wilson, cette tragédie japonaise devient le terreau idéal pour l’expression du formalisme qu’il revendique. Spectacle en italien, surtitré en français et en anglais.

Dans sa version originale, la Petite Messe solennelle requiert quatre solistes, un chœur mixte, deux pianos et un harmonium. C’est cette formation réduite qui lui vaudra le qualificatif de « Petite Messe » car, en durée, l’œuvre s’étend sur près d’une heure et demie. En 1867, Rossini orchestra sa messe pour un effectif instrumental plus important. C’est la première version qui est présentée lors de ce concert.

Cantate des paysans (1734), Mer hahn eb neue Oberkeet. BW212
Suite en si mineur (1740) BW 1067
Cantate du café (1742) Scweigt stille, plaudert nicht. BW 211
De Jean Sébastien Bach, surtitrage en français avec l’ensemble instrumental de la Grande écurie et La Chambre du Roy (directeur musical