3 Clowns c'est un total de 170 années. Ils ont déjà bien roulé leurs bosses mais la flamme est toujours là et ils vont faire leur cirque. 

3 Clowns c'est un total de 170 années. Ils ont déjà bien roulé leurs bosses mais la flamme est toujours là et ils vont faire leur cirque. 

3 Clowns c'est un total de 170 années. Ils ont déjà bien roulé leurs bosses mais la flamme est toujours là et ils vont faire leur cirque. 

3 Clowns c'est un total de 170 années. Ils ont déjà bien roulé leurs bosses mais la flamme est toujours là et ils vont faire leur cirque. 

3 Clowns c'est un total de 170 années. Ils ont déjà bien roulé leurs bosses mais la flamme est toujours là et ils vont faire leur cirque. 

Dans un bus délabré, branlant, un voyage surréaliste de neuf passagers embarqués malgré eux par un chauffeur invisible et omniprésent. Victimes de ce manipulateur, les mesquineries et lâchetés des uns et des autres vont aller jusqu’à provoquer le pire. Grande métaphore du régime communiste bulgare des années 80, L’Autobus manie avec jubilation l’humour, l’absurde et la dénonciation.

Déjà présents sur scène, les acteurs sont à vue, se maquillent et viennent s’asseoir au premier rang. Puis ils se lèvent pour se mettre en jeu, selon un protocole défini à l’avance. Le public pourrait bien être le miroir dont les clowns ont besoin pour partager et comprendre ce qui se joue malgré eux. La complicité entre eux se tisse à coup de sensations...

Qui aborde Bruno Netter - comédien aveugle, initiateur du projet - et lui demande de ses nouvelles, s’entend répondre immanquablement : « Ça va… malgré tout. » Cette parole n’est pas sans évoquer à la fois l’intrépidité de Joseph K. et le courage magnifique de ces comédiens « différents » qui composent pour majorité la distribution du Procès. Une pièce belle, étrange, drôle et envoûtante.

Des femmes et des hommes pris dans des passions, des désirs, des plaisirs forts et marginaux. Un hédonisme « monstrueux » ou une quête obsédante de soi-même et de liberté ?

Qui aborde Bruno Netter - comédien aveugle, initiateur du projet - et lui demande de ses nouvelles, s’entend répondre immanquablement : « Ça va… malgré tout. » Cette parole n’est pas sans évoquer à la fois l’intrépidité de Joseph K. et le courage magnifique de ces comédiens « différents » qui composent pour majorité la distribution du Procès. Une pièce belle, étrange, drôle et envoûtante.