Murielle Elizéon
Murielle Elizéon
Murielle Elizéon est interprète depuis 1996 dans plusieurs compagnies de danse contemporaine (Ami Garmon, Bruno Sajous, Joachim Sclhomer, Thomas Lebrun).
Elle commence la création chorégraphique en 2000 avec le solo Eau froide présenté aux Rencontres Chorégraphiques à Rennes et crée la compagnie Corps au Bord en 2001. Le duo E pericoloso sporgersi a été programmé au festival Danse dense à Pantin, au Festival C'est du jamais vu à Bruxelles, au Théâtre national de Nice et lors d'une tournée CCAS.
Cet(te) artiste n'est pas lié(e) en ce moment à un spectacle.
De 1999 à hier - Murielle Elizéon
Lierre, Paris
du 7 au 8 janv. 2005
- De : Thomas Lebrun
- Avec : Anne-Emmanuelle Deroo, Murielle Elizéon, Thomas Guerry, Stéphane Imbert, Virginie Lauweurier, Bérénice Legrand, Nicolas Martel, Angèle Micaux, Christian Ubl
Ils sont huit, plus l’homme au micro. Ils ont vingt ans entre 1930 et 1970. Ils sont là pour vous, pour vous séduire, pour vous convaincre de leur existence, et de leur talent. Pour recevoir de vous le moindre amour. Ils sont seuls.
L'étoile du nord, Paris
du 7 au 15 mai 2004
- De : Veronica Vallecillo, Murielle Elizéon, Sophie Daviet, Liz Young, Sylvia Hillard, Isabelle Esposito
- Avec : Veronica Vallecillo, Murielle Elizéon, Sophie Daviet, Liz Young, Sylvia Hillard, Raphaëlle Doyon, Maxence Rey, Orane Steinberg
Sous ce vocable ironique se dissimulent de courtes chorégraphies (de minutes à une demi-heure, voire un peu plus), proposées par des auteurs en plein travail de définition de leur univers dansé (on les appelle d’habitude " jeunes auteurs ").
Lierre, Paris
du 11 au 12 janv. 2002
30 minutes
- De : Thomas Lebrun
- Mise en scène : Thomas Lebrun
- Avec : Sandrine Becquet, Séverine Bauvais, Virginie Lauweurier, Marion Roseel, Murielle Elizéon, Anne-Emmanuelle Deroo
Quelle place pour le passé, le présent et l’avenir, pour chacun ? Quels souvenirs, envies, rêves, projections, espoirs ? Comment relie-t-on l’avenir avec le passé au moment présent ? Go/stop/reverse oscille entre l’avant et l’après de chacune des interprètes. La pièce se lit comme un zapping de témoignages, de souvenirs, d’images qui se voudraient proches des interprètes, que ce soit dans une réalité propre à chacune d’elles, ou dans l’imaginaire de Thomas Lebrun.
