Le mythique « Club 27 », ce sont ces musiciens décédés à l’âge de 27 ans. Un spectacle sauvage, une famille imaginaire, un documentaire sur les anges, de la musique électrisante, un anniversaire raté, des refrains pourris et des cœurs qui battent, qui battent, qui battent.

L'Âme humaine sous le socialisme est un programme politique autant qu’un manuel de développement personnel. Oscar Wilde fait le rêve pamphlétaire d’une société néo-hellénique de purs artistes. Un contrat social utopique enfin rendu possible par l’esclavage des machines. « L’État fera ce qui est utile. L’individu, ce qui est beau. »

L’idée de Barbecues trouve son origine dans la lecture de 2666 de Roberto Bolaño. Et se présente d’abord comme une matrice à raconter des histoires – comme dans le livre, une profusion jubilatoire de personnages et d’intrigues se heurte à la réalité sourde et inconcevable.

Le mythique « Club 27 », ce sont ces musiciens décédés à l’âge de 27 ans. Un spectacle sauvage, une famille imaginaire, un documentaire sur les anges, de la musique électrisante, un anniversaire raté, des refrains pourris et des cœurs qui battent, qui battent, qui battent.

Le mythique « Club 27 », ce sont ces musiciens décédés à l’âge de 27 ans. Un spectacle sauvage, une famille imaginaire, un documentaire sur les anges, de la musique électrisante, un anniversaire raté, des refrains pourris et des cœurs qui battent, qui battent, qui battent.

Pour l’Atelier du Plateau, le collectif De Quarck a choisi de présenter leur forme évolutive et jubilatoire autour La Fête de Spiro Scimone. Ils ne manqueront pas de bouleverser l’espace de notre lieu pour partager leur vision enchantée de la langue et du chantier théâtral.

Cauchemar ou farce ? Dans la nuit, un homme réveille sa femme : il a faim et rêve d’un bout de saucisson depuis si longtemps. Affamé, humilié, ce chômeur disparaît quelques instants, qui suffisent à sa femme et à sa belle-mère pour se persuader qu’il veut mettre fin à ses jours. De cette fin pressentie naissent la pièce et l’intrigue. C’est sur le mode du rire acide que Jacques Nichet nous invite à réfléchir sur le pouvoir des morts.

Auteur et metteur en scène, Garcia, né en Argentine en 1964, vit et travaille à Madrid. Sa compagnie s’appelle « La carniceria Teatro » en référence à la boucherie de ses parents. Réaliste, provocateur, poétique, absurde, Garcia met tout à plat et bouscule les idées reçues.