La nouvelle création de la compagnie japonaise Sankai Juku présentée par le Théâtre de la Ville dans le cadre de sa saison Hors les murs.

Exubérance marine, tranquillité terrestre. Les tableaux vivants composés par Ushio Amagatsu déroulent leurs climats comme autant d’humeurs.

Exubérance marine, tranquillité terrestre. Les tableaux vivants composés par Ushio Amagatsu déroulent leurs climats comme autant d’humeurs.

Au-delà de sa silhouette talquée, de son crâne rasé, reproduits à l’identique par ses danseurs tous masculins, les mises en scène de Ushio Amagatsu avec Sankai Juku sont autant de rituels aiguisés, au sein desquels une gestuelle fluide et chargée possède l’impact d’une bombe à irradiation lente. Une transe douce, celle de la métamorphose permanente des corps reliés au vivant dans sa dimension la plus large.

Au-delà de sa silhouette talquée, de son crâne rasé, reproduits à l’identique par ses danseurs tous masculins, les mises en scène de Ushio Amagatsu avec Sankai Juku sont autant de rituels aiguisés, au sein desquels une gestuelle fluide et chargée possède l’impact d’une bombe à irradiation lente. Une transe douce, celle de la métamorphose permanente des corps reliés au vivant dans sa dimension la plus large.

Au-delà de sa silhouette talquée, de son crâne rasé, reproduits à l’identique par ses danseurs tous masculins, les mises en scène de Ushio Amagatsu avec Sankai Juku sont autant de rituels aiguisés, au sein desquels une gestuelle fluide et chargée possède l’impact d’une bombe à irradiation lente. Une transe douce, celle de la métamorphose permanente des corps reliés au vivant dans sa dimension la plus large.

Après avoir abordé les univers si différents de Tchekhov, Jean Genet et Tony Kushner, un des compositeurs contemporains d'opéra les plus en vue, Peter Eötvös propose une oeuvre lyrique très poétique, dense et courte, d'après l’un des tout premiers récits de voyage de la littérature mondiale : une promenade dans le Japon du XIe siècle écrite par une femme de lettres.