Aladdin et la lampe magique

Paris 1e
du 4 au 29 janvier 2006
60 minutes

Aladdin et la lampe magique

Comédie musicale interactive à partir de 4 ans. La compagnie Dans les Décors nous transporte dans l’Orient mystérieux des Mille et Une Nuits, où Aladdin, un astucieux gamin des rues, sans autre bagage que son amour, se lance au secours d’une Shéhérazade retenue prisonnière par un maléfique Magicien Noir… Mais l’ignoble Grand Vizir, qui se voit déjà calife à la place du calife, est lui aussi sur ses traces et compte bien l’épouser, de gré ou de force, après avoir éliminé Aladdin.

Comédie musicale interactive à partir de 4 ans.

Le spectacle
Point de vue de l’auteur

Intentions de mise en scène

La presse

La compagnie Dans les Décors nous transporte dans l’Orient mystérieux des Mille et Une Nuits, où Aladdin, un astucieux gamin des rues, sans autre bagage que son amour, se lance au secours d’une Shéhérazade retenue prisonnière par un maléfique Magicien Noir… Mais l’ignoble Grand Vizir, qui se voit déjà calife à la place du calife, est lui aussi sur ses traces et compte bien l’épouser, de gré ou de force, après avoir éliminé Aladdin. 

Heureusement qu’il y a le génie de la lampe, (un vrai festival), et tout devient possible…
Récapitulons : nous avons un Génie délirant et désopilant, un Vizir impitoyable et machiavélique, un puissant Magicien Noir pince-sans-rire, un Aladdin un tantinet fleur bleue mais tellement courageux, et une déroutante Shéhérazade jamais à court d’idées… Le tout mené tambour battant et en chansons ! Voilà de quoi voyager vite et loin avec ou sans, tapis volant !

Haut de page

Ma rencontre avec Alexandre Vaz, directeur artistique de la compagnie Dans les Décors, a permis de mettre au jour un beau projet artistique : Aladdin. Le choix sur ce conte s’est vite fixée entre nous. Il ne me restait plus qu’à l’écrire.
Dans Les Mille et Une Nuits, Aladdin est le héros de plusieurs aventures. Celles-ci ont peu de rapport entre elles et sont même séparées les unes des autres temporellement. Leur seule attache dépend à proprement parler des personnages. Ils se limitent grosso modo à l’histoire en cours. Comment adapter tout en restant fidèle à un conte composée d’histoires qui ont peu ou prou à voir entre elles ?

J’avais en tête de raconter aux enfants une histoire simple qui se complique et se dénoue grâce à une intervention surnaturelle, ici celle du génie - n’oublions pas que nous sommes dans le merveilleux. En enchaînant les scènes d’une seule et unique action selon la nécessité et la vraisemblance, je pensais pouvoir apporter chez le spectateur les émotions, les suspenses et les coups de théâtre désirés. Pour arriver à mes fins, j’ai donc dû prendre certaines libertés avec le célèbre conte arabe.

J’ai maintenu des personnages (Aladdin, la Princesse, le Génie et le Magicien), écarter d’autres (la mère, le sultan) et inventé deux ( le Grand-Vizir et le Crieur Public). A cela je brodais une histoire autour de la lampe magique. Voici l’histoire : Aladdin, le héros, est à la recherche de la princesse Schéhérazade qui a été enlevée par le Magicien Noir. Celui-ci ne s’oppose pas directement à Aladdin. C’est l’obstacle qui permettra la réalisation de cet amour inconcevable entre la princesse et l’enfant des rues. Le vrai opposant est le Grand-Vizir, qui poursuit la princesse pour des raisons politiques. Il me fallait un assistant qui aide Aladdin dans la réalisation de son désir. C’est le rôle du Génie qui permet de donner à la pièce un tour comique. Le Crieur Public vient exposer l’histoire. Une fois racontée, il ira se coucher.

Une des caractéristiques des Mille et Une Nuits est ses histoires en tiroirs, c’est-à-dire emboîtées les unes dans les autres. J’ai tenté de les reproduire dans ma pièce en faisant raconter à Schéhérazade une histoire proche de la sienne au moment où le Magicien Noir veut se débarrasser d’elle. C’est ainsi que viennent souvent ces emboîtements dans Les Mille et Une Nuits, lorsqu’un personnage en danger essaie de se sauver par l’art de la parole et de l’imagination. Et c’est un des raisons qui m’ont fait opter pour le nom de Schéhérazade à l’héroïne ; l’autre étant que je trouvais celui de Badroulboudour, la princesse aimée dans la véritable Histoire d’Aladdin, difficilement prononçable. Je tiens à signaler au passage que j’attache une attention particulière à l’orthographe de Schéhérazade. On ne doit pas oublier le petit c de la première syllabe du prénom. Je l’ai souvent vu écrit à l’anglaise, c’est-à-dire Shéhérazade. Je trouve cela très regrettable.

Je dois dire aussi que je me suis efforcé à faire plaisir autant aux petits qu’aux parents. J’ai particulièrement soigné le texte et mis des dialogues que seuls eux comprendront. Je crois qu’en fin de compte tout le monde trouve son plaisir dans Aladdin.

Robert Ballestra

Haut de page

L’imaginaire enfantin mêle facilement conte et réalité. Ici, Shéhérazade raconte l’histoire dans laquelle elle-même se débat pour échapper à ces odieux ravisseurs. 

Les moteurs de la pièce sont l’intérêt dramatique et le comique. C’est pourquoi la direction d’acteurs s’est employée à faire ressortir les archétypes du conte, avec «des méchants très méchants», une Shéhérazade «très princesse» et un Aladdin très courageux et très amoureux, tout en donnant une grande liberté aux comédiens pour développer leur humour : un mélange proche parfois de la Commedia dell'Arte…

La musique, elle, renforce tour à tour l’exotisme oriental de l’histoire et l’esprit dramatique de la scène. Elle sert également de lien entre les scènes dans un esprit quasiment cinématographique. Enfin, elle participe au comique de la pièce par sa qualité et par l’humour que ses auteurs y ont mis. 

Les décors, escamotables, donnent la possibilité de passer rapidement d’un lieu à un autre, couplées à l’utilisation des lumières «à contre», elle permet un «effet diapo» en renforçant la sensation de « mirage » qu’amène l’histoire. On privilégiera les effets «schintés» aux «cut». 

En résumé, si l’accent est mis sur le comique et l’action, ce spectacle ne néglige aucunement l’esthétique.

Yves Espargilière

Haut de page

«La Compagnie Dans les décors...  revient avec une pièce particulièrement drôle et pleine de tendresse. Les comédiens prennent beaucoup de plaisir à jouer. Pour autant la qualité n’est pas oubliée. Un très joli moment de théâtre chanté à partager en famille.» - Zurban : spectacle «Coup de cœur»

«Le charme opère et la magie s’empare des enfants : les petites filles sont émerveillées par la gracieuse Shéhérazade sauvée par le courageux Aladdin au cœur pur, quant aux garçons, ils savourent les affrontements aux sabres d’Aladdin et du diabolique vizir. Côté rire, la palme revient au génie, qui tout juste libéré de la lampe merveilleuse, enchaîne les pitreries et nous livre une magistrale danse du ventre.» Cityjunior.com 

«Tous les ingrédients qui font le charme de la compagnie « Dans les décors... » : Le Bagdad mythique et merveilleux, celui des princesses au regard velouté, des magiciens rancuniers, et des jeunes héros téméraires… Le tout enlevé par une intrigue finement ficelée !» - Aden, Le Monde,  4 étoiles (il est conseillé de s’y précipiter)

«Une des meilleurs distractions du moment ! Une aventure rocambolesque, poétique, épique et merveilleuse, rondement menée par quatre excellents comédiens. On retient son souffle, on frémit et on éclate de rire en suivant les péripéties. Le tout est ponctué de duels à l’épée, de pitreries géniales, de danse du ventre et de chansons.» - Le Parisien

«Cette comédie musicale est irrésistible. C’est le divertissement idéal. Le décor, la mise en scène, la musique, le jeu des acteurs font totalement oublier les adaptations cinématographiques d’Aladdin. Cette comédie musicale a tout d’une « grande » ! Les adultes se régalent autant que les enfants ! Les airs entonnés par les comédiens trottent longtemps dans les têtes. Ca fonctionne à merveille…» -  Theatre-enfants.com

Haut de page

Sélection d’avis du public

RE: Aladdin et la lampe magique Le 15 juin 2005 à 17h08

jaimerai savoir si cetet piece aladdin est l'original aladdin, c'est a dire comme dans la cassette "aladdin colector's" ou le jeune aladin découvre la belle yasmine ou bien est ce une adaptation.

Aladdin et la lampe magique Le 21 mars 2005 à 09h22

Vous aimez les beaux contes racontés avec un texte de qualité ? Vous aimez les belles chansons, les jolies princesses et les méchants vizirs ? Vous voulez être aussi emballés que vos enfants émerveillés ? Courrez voir ce spectacle emballant, menés par 4 jeunes acteurs très très talentueux et laissez vous emporter par le génie "à la maman géniale" !

Vous avez vu ce spectacle ? Quel est votre avis ?

Note

Excellent

Très bon

Bon

Pas mal

Peut mieux faire

Ce champ est obligatoire
Ce champ est obligatoire

Vous pouvez consulter notre politique de modération

RE: Aladdin et la lampe magique Le 15 juin 2005 à 17h08

jaimerai savoir si cetet piece aladdin est l'original aladdin, c'est a dire comme dans la cassette "aladdin colector's" ou le jeune aladin découvre la belle yasmine ou bien est ce une adaptation.

Aladdin et la lampe magique Le 21 mars 2005 à 09h22

Vous aimez les beaux contes racontés avec un texte de qualité ? Vous aimez les belles chansons, les jolies princesses et les méchants vizirs ? Vous voulez être aussi emballés que vos enfants émerveillés ? Courrez voir ce spectacle emballant, menés par 4 jeunes acteurs très très talentueux et laissez vous emporter par le génie "à la maman géniale" !

Informations pratiques

Au Bec Fin

6 rue Thérèse 75001 Paris

  • Métro : Pyramides à 94 m, Palais Royal - Musée du Louvre à 363 m
  • Bus : Pyramides à 115 m, Sainte-Anne - Petits Champs à 138 m, Bibliothèque Nationale à 151 m, Palais Royal - Musée du Louvre à 367 m, Richelieu - 4 Septembre à 394 m
Calcul d'itinéraires avec Apple Plan et Google Maps

Plan d’accès

Au Bec Fin
6 rue Thérèse 75001 Paris
Spectacle terminé depuis le dimanche 29 janvier 2006

Pourraient aussi vous intéresser

- 18%
Pinocchio

A la Folie Théâtre

- 19%
Les Trois brigands

Le Funambule Montmartre

- 37%
La Famille Croquembouche

La Scène Parisienne

Spectacle terminé depuis le dimanche 29 janvier 2006