Angela for ever

• Spectacle humoristique et musical

Un petit bijou. Sophie et Angela, harpe star, complice de la harpiste, vivent une passion délirante… Une dizaine de tubes classiques (Mozart, Haendel, Bach…) concourent à la magie de cette étonnante love story. À découvrir absolument.

Thème universel, la passion : née d'une vocation d'enfant et nourrie par l'amour de la Musique. Voici donc l'histoire d'une vie, moitié réaliste, moitié rêvée comme toute vie. Avec le portrait d'une artiste à la fois forte et vulnérable, drôle et dramatique, éternellement animée du feu sacré : Sophie la Harpiste. La Musique est incarnée par le second personnage en scène, la Harpe.

Répondant au nom d'Angela, diva depuis 3 000 ans, complice de la Harpiste, mais jalouse et caractérielle, il lui arrive de prendre la parole, comme le jour des noces avec Sophie, ou de se mettre en grève, après une scène de couple délirante. Sophie fait vivre toute une galerie de personnages, son exceptionnelle maîtrise de la harpe donnant une dimension musicale magique à chaque moment ! Le choix des airs rend le spectacle populaire : thèmes classiques, connus ou faciles à mémoriser, signés Mozart, Haendel, Bach... La Moldau (Smetana) devient, au fil de l'histoire, la chanson titre d'Angela for ever.

Tout est né d'une rencontre, et même d'un coup de foudre. Peu avant Noël 2007, sur la petite scène de l'Aktéon à Paris, j'ai découvert un personnage étonnant, Sophie la Harpiste. Un choc !

Certes, j'ai une passion pour la musique, et mes premiers droits d'auteur furent ceux d'une parolière. Un tropisme me fait monter en scène pour tirer quelques sons de ces cordes magiques. Je ne suis pas allée jusqu'au jeu de pédales. Mais la harpe a vraiment un charme fou. Après le spectacle, je me retrouve au café avec Sophie: J'aimerais écrire pour vous... C'est la manière la plus simple de lui dire qu'elle a un talent fou ! La comédienne m'avoue qu'elle cherche un auteur, pour renouveler son inspiration, son jeu... Elle me conte sa vie d'artiste, déjà riche, sa passion pour la harpe, et quelques confidences privées, que je note déjà, sans papier ni crayon. Deux jours et une nuit plus tard, le projet d'Angela For Ever est né. Un tel élan l'a touchée, surtout que j'ai tout laissé tomber pour ça. Trois mois après, on arrive au terme de l'aventure, Acte I.

Entre temps, texte lu et approuvé par Sophie qui m'a fait couper quelques pages. Puis par Jean-Paul Rolin, metteur en scène qui adore Sophie, et m'a fait recouper, réécrire trois sketchs. Tout cela dans la joie, vraiment ! Le projet d'une création à Avignon s'est concrétisé en quatre jours : Angela a pris son envol à la Mirande, dans un espace digne de la Harpe et de la Harpiste, le 20 juillet 2008. Ce fut l'Acte II.

Depuis, plusieurs salles dans les Yvelines ont accueilli le nouveau spectacle, repris le 10 janvier 2009, à Paris ! Voilà une belle histoire d'amour. Sur scène où Sophie et Angela vivent une passion délirante sur fond de musique classique. Mais aussi dans nos coulisses où la complicité est totale.

Michèle Ressi

"Une dizaine de tubes classiques (Mozart, Haendel, Bach…) concourent à la magie de cette étonnante love story. A découvrir absolument." Sud Ouest, 11 juillet 2008

"One-woman-show d'une originalité rafraîchissante... Des aventures cocasses et touchantes, interprétées par une Sophie Bonduelle dotée d'un sacré tempérament et d'un humour ravageur." Télérama

"Un vrai plaisir, tant pour les yeux que pour les oreilles. Sans modération." La Provence

"C'est un coup de foudre artistique." Le Dauphine Liberé

"Une soirée à pleurer de rire." La Marseillaise

"Sophie Bonduelle est dotée d'un talent de comique hors pair." Paris Mantes Poissy

Dans "Angela for ever", Angela n'est pas l'interprète, mais...l'instrument,avec lequel “Sophie la harpiste” entretient des relations aussi passionnées que passionnantes. Les mélomanes apprécient les adaptations ou pastiches, mais aussi la virtuosité de l'interprète. Les moins avertis constatent, avec un étonnement amusé, sa capacité à jouer assise, debout, couchée ou en esquissant des mouvements de tango. Les jeunes sont surpris en entendant du rap sortir de cet instrument classique. En attendant...Paris, 02 décembre 2009